Peut-être parce que j’en cuisine beaucoup dans les purées de Mini-biscuitou peut-être parce que j’ai envie d’avoir les fesses roses, cet été je revisite la salade de carottes sous diverses formes. Après ma salade sucrée salée de carottes et pomme au miel, je vous propose ici de nouvelles carottes râpées, suffisamment originales pour vous en parler !
Pour cette recette, je me suis encore une fois inspirée du magnifique livre Un festin de nature d’Erin Gleeson. À la différence que j’ai remplacé les noix de pécan par des noix, l’huile d’olive par de l’huile de noix, et que j’ai ajouté des zestes d’orange. Servi bien frais, j’ai A-DO-RÉ !
Pour une raison qui m’échappe un peu, un chou-rave attendait patiemment son heure dans le bas de mon frigo. Problème… C’est un légume que j’ai l’habitude de cuisiner sous forme de gratins ou de quiches, mais par les températures qui sévissent actuellement (vous ai-je déjà dit que j’habite sous les toits ??!) c’est juste impensable d’allumer le four.
Bref, un tour de Google plus tard, j’ai découvert que le chou-rave pouvait également se déguster en salade. Ayant également un pamplemousse en stock, ça n’a fait ni une, ni deux ! J’ai déniché cette petite recette ici et bien que d’abord un peu sceptique sur sa bonne digestibilité, aucun problème à signaler 😉
Mondial ou pas, l’été bat son plein, il fait merveilleusement beau, et Nom-de-code-chéri et moi en profitons à fond pour inviter des amis à dîner sur notre petit coin de terrasse. LA super formule pour garder une vie sociale, sans bousculer le rythme bien établi de Mini-biscuit.
À la recherche d’un peu d’originalité pour accompagner un barbecue, j’ai replongé mon nez dans le magnifique livre Un festin de nature d’Erin Gleeson, duquel j’avais déjà tiré cette délicieuse salade sucrée salée de kakis à la coriandre. Grand bien m’en a pris ! Le livre regorge d’idées créatives, saines et colorées. Je vous en réserve d’ailleurs une autre pour les prochains jours, gardez l’œil ouvert 😉
Dans cette salade, les aubergines sont rôties et les tranches de mozzarella panées. Deux 1ères pour moi : d’abord parce qu’avant ça, je n’envisageais que les aubergines en plat chaud ; ensuite parce que je n’avais encore jamais pané de la mozzarella… Il doit probablement exister des mozzarella « à cuire » qui fondent moins à la cuisson, ça peut aider. Dans tous les cas, veillez à ce que votre poêle soit vraiment très chaude.
J’ai doublé les proportions de la recette originale, sauf pour l’ail, parce que 8 gousses me paraissait démentiel ! Aussi la recette préconisait de passer les aubergines 2 x 8 minutes au four, mais elles sont restées trop fermes à notre goût. Je rallonge légèrement le temps de cuisson ci-dessous, mais à vous de les piquer et de juger selon vos goûts 😉
Je ne sais pas chez vous, mais ici il fait chaud… Très chaud ! Et demain nous serons officiellement en été. La saison des barbecues, bien sûr, à accompagner d’une salade bien fraîche et qui sorte si possible de l’ordinaire. De l’originalité, je vous en propose ici avec cette salade sucrée salée. Parce que les carottes râpées, on connaît ça par cœur (pas forcément de bon cœur d’ailleurs) mais avec de la pomme, du miel et des amandes grillées, ça change vraiment tout !
Je tiens cette recette du site Cuisine AZ. Je l’ai imprimée en avril 2011, c’est écrit en bas à droite de ma page. Depuis 7 ans donc, c’est une recette que j’ai faite et refaite, toujours avec le même plaisir, et en plus ça rend aimable !
Vous verriez la photo au recto de la fiche Elle, vous comprendriez que cette recette ne date pas d’hier : table orange, saladier en bois, mise en scène ringarde… Pourtant 40 ans après, ce taboulé répond toujours présent à la table des barbec’ familiaux. Mieux, on le réclame !
Depuis le temps on l’a un peu adapté à notre sauce : on a viré les oignons, ajouté les raisins secs, doublé la dose de menthe et forcé sur le citron. Et nous voici parvenus au Saint Graal du taboulé 😀 Et comme je suis vraiment sympa, je vous dévoile notre recette ici !
Ne vous y prenez pas à la dernière minute, il faut au moins 2 heures à la graine pour gonfler. Elle s’imbibe du jus des citron, des tomates et de l’huile. L’idéal c’est de préparer ce taboulé la veille pour le lendemain, ça laisse aux saveurs le temps de s’exprimer !
Ah mes lecteurs ! Je vous délaisse un peu ces dernières semaines… Je suis pourtant tous les jours en cuisine. J’y prépare des purées et des compotes pour mon Mini-biscuit d’amour <3 J’espère d’ailleurs étrenner rapidement ma nouvelle rubrique consacrée à la cuisine de bébé. J’y travaille, mais tout occupée que je suis à ramasser la girafe Sophie pour la 30ème fois, les choses se font plus lentement 😉
Me voici tout de même avec un plat qui sent bon le retour des beaux jours. J’ai craqué chez l’épicier pour la 1ère aubergine de la saison, puis j’ai simplement attendu que les températures baissent un minimum pour rallumer mon four ! Je me suis inspirée de cette recette de Virginie, en faisant avec les ingrédients du bord, raison pour laquelle je n’ai pas suivi ses proportions à la lettre. On s’est quoi qu’il en soit régalés. Servi avec un peu de riz (arrosé du jus des légumes) ce tian est parfait pour un petit dîner en toute simplicité.
Rendons immédiatement à César ce qui lui appartient : Nom-de-code-chéri a réalisé cette recette ! Pas moi, j’avais Mini-biscuit dans les bras <3 Il avait repéré les fiches recettes du magazine Elle, seule lecture que j’ai pu mener à bien depuis la naissance de Mini-biscuit… Il est loin le temps où j’enchaînais un bouquin derrière l’autre !!! Voir ici par exemple mes nombreuses lectures de grossesse !
Bref, la fiche est signée de Carrie Solomon, américaine basée à Paris et auteur de plusieurs livres de recettes. Pour celle-ci, elle conseillait 1 œuf pour 1 courge (environ 800 g de chair). On a légèrement changé les proportions et on a beaucoup apprécié cette 1ère expérience de la courge spaghetti !
La courge spaghetti, vous connaissez le principe ? Sa chair est naturellement filamenteuse. Après cuisson, on la prélève à la fourchette et on obtient des filaments comme des spaghetti, d’où son nom 😉
Vous connaissez l’expression « faire chou blanc » aka « rater son coup » ? Eh bien rien de tout cela n’arrivera avec cette bonne recette de poêlée hivernale ! Des légumes pour l’équilibre, des patates qui tiennent au corps et plein d’aromates pour relever le tout… J’ai été bien inspirée ce soir-là !
La coriandre vietnamienne, dont on aperçoit une feuille sur la photo, est tellement parfumée que peu de feuilles suffisent à booster un plat ! Sa saveur fraîche et poivrée goûte la coriandre qu’on connaît, une touche de citronnelle en plus.
Les soirées raccourcissent, les températures rafraîchissent, mais le ciel nous fait encore l’honneur de beaux rayons de soleil. J’en profite pour vous poster la dernière recette d’une longue série cette année… Celle des monstro-courgettes ! Voici la dernière de la saison sous forme de röstis, ces galettes généreuses qui réchauffent parfaitement une soirée de début d’automne.
Je n’ai pas pris le temps de faire dégorger la chair de la courgette comme c’est préconisé dans certaines recettes. Plus mon ventre s’arrondit, plus je vais à l’essentiel 😉 J’avais du basilic frais, si vous le sentez avec du persil, de la menthe ou ou un mélange d’herbes, faites à votre aise !
Encore des courgettes ??! Quand je vous dis que les récoltes ont été prolifiques cette année… Et vous savez quoi ? Je ne m’en lasse pas. Il suffit de se renouveler un peu. Et question renouvellement, jugez un peu par vous-même : courgettes en terrine, en tartinade, avec des pâtes, en clafoutis, en boulettes, en croque monsieur, en röstis, (vous suivez encore ?!) farcies au quinoa, farcies au fromage, et cette fois farcies à l’orzo. Qui a dit que la cuisine pouvait être répétitive et ennuyeuse ?
Vous vous souvenez de l’orzo ? Mais si, cette petite pâte grecque en forme de grain de riz (ou presque). Je vous l’avais déjà proposée dans ce délicieux orzotto safrané au potiron et chorizo. Mmh, bientôt le potiron… Mais pour l’heure, voyons encore comment régler le compte de nos courgettes rondes !