De petites crèmes au chocolat aussi crémeuses, fondantes et gourmandes, alors qu’elles sont sans crème, sans œuf et sans sucre, comment est-ce possible ?! En plus ça n’a rien de bien compliqué, puisque ce dessert ne compte que 3 ingrédients seulement ! Et parmi eux, vous l’aurez deviné, il y a un ingrédient magique… et de saison… j’ai nommé : LA COURGE ! Oui, oui, ici j’ai mis du potiron, dont le goût s’avère absolument imperceptible.
Au final, le goût de la noisette (du lait de noisettes) est lui aussi assez peu présent -il faudrait voir avec un autre lait végétal si ça change vraiment quelque chose- mais ce chocolat plein la bouche, mmh, ça c’est impayable !!!
J’ai déniché cette recette dans un post Facebook d’une copine, sans qu’elle cite sa source, mais entre temps un gentil commentaire m’a indiqué qu’elle venait de La ligne gourmande.
En fait, j’ai des phases. Par exemple des phases où je me nourris de courgettes, ou des phases où je me fixe sur la rhubarbe. Vous l’aviez sûrement remarqué. Le chocolat, c’est différent, c’est tout le temps 🙂
Bon, mes phases sont surtout imposées par le cycle des saisons et les récoltes des potagers familiaux, qui ont encore donné de belles tiges de rhubarbe. Je poursuis donc mes expérimentations après le crumble, le moelleux, le trifle et la tarte tatin et m’arrête aujourd’hui sur LE dessert italien parmi tous. J’aime tellement le tiramisu, que je n’ai jamais osé me mesurer au « vrai » : biscuits à la cuillère, café, Amaretto… Mais j’y viendrai ! Pour l’instant j’explore des variantes fruitées : clémentine, banane, et maintenant rhubarbe !
Le potager ne m’a donné que 400 g de rhubarbe cette fois, c’était un peu juste. Je n’ai donc pas utilisé toute la mousse au mascarpone… qui a fini dans 2 petits tiramisu banane Speculoos ! J’ai adapté les quantités ci-dessous pour que vous n’ayez pas ce « problème ». Si tant est que 2 tiramisu banane soient des « problèmes ».
Il est des desserts intemporels, classiques mais pas banals, toujours efficaces. C’est le cas de la mousse au chocolat. Deux ingrédients seulement, comme d’autres se targuent : des œufs frais, du bon chocolat et basta. Quoiqu’un bon batteur, ça aide 😉
En temps normal, j’aurais pensé que mon petit tour de hanche n’avait pas besoin de goûter à cet alléchant dessert. Mais force était de constater que les fonds de tiroirs m’y incitaient : du mascarpone laissé par mes tiramisu au pain d’épices et clémentines, 1 œuf épargné par les galettes successives et 1 banane noircissant d’impatience sur mon bureau. Bref, j’ai cédé à la tentation d’essayer la recette repérée sur le blog Objectif : Zéro Miette ! mais en reprenant les proportions de mes tiramisu et en les divisant pour faire avec mes restes. N’hésitez pas à remultiplier pour plus de gourmands !
Oh oui, multipliez et multipliez encore ! Parce que ce tiramisu banane Speculoos est une pure tuerie, hyper rapide à faire, et vu mes quantités lilliputiennes, mon petit tour de hanche est sauf !
Dernière gourmandise de fin d’année, et non des moindres, avant d’attaquer la galette ! Chargée d’apporter le dessert au réveillon du nouvel an, je voulais quelque chose de frais et dans l’esprit des fêtes. Venant tout juste d’éprouver mon super pain d’épices maison et le panier bio de la semaine débordant de clémentines… Épices et clémentines ont passé le casting du dessert avec succès !
Pour associer les 2, j’ai trouvé l’inspiration sur le blog Papilles et pupilles, dont je n’ai quasi pas modifié la recette. J’ai juste augmenté les proportions. Quel délice ! Dégustés peu de temps après minuit, ces merveilleux petits tiramisu nous ont fait glisser tout en douceur et en gourmandise dans la nouvelle année… Alors même s’ils sont un peu longs à préparer (surtout si on fait son pain d’épices), ça vaut tellement le coup ! Les tiramisu se préparant à l’avance, au mieux la veille, il suffit de s’organiser un peu. Pour ma part : le pain d’épices à J-2, le tiramisu à J-1, quant au jour J, il n’y avait plus qu’à fêter 😉
AVERTISSEMENT
Cette recette est extrêmement addictive et tellement simple à réaliser que vous ne pourrez plus vous en passer ! La suite à vos risques et périls…
(Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas prévenus !)
Simplicité et gourmandise, c’est le thème du 10ème « Passe-plats entre amis » soufflé par Claudine du blog La cuisine de Gut. Elle nous invitait à réaliser une recette « chrono trop gourmande », à la fois rapide à faire et ultra bonne. Je crois que là, je suis à 200 % sur les 2 tableaux 😉
Sur l’échelle du plaisir, cette crème glacée se range au niveau de la pâte à tartiner à la cuillère, alors que son indice de culpabilité reste, lui, (presque) aux pâquerettes 😀 Si ce n’est pas vraiment light, c’est clairement sain et 100% naturel. En plus, 2 ingrédients et 2 secondes de préparation (on va pas chipoter), c’est trop facile !
Après mes panna cotta aux fruits rouges, qui me régalent fidèlement depuis 5 ans, je viens seulement de tenter cette variation au chocolat, tout aussi sensationnelle et simple.
Bien qu’étant une incorrigible choco-addict, j’imaginais jusque-là qu’une panna cotta au chocolat (comme au caramel d’ailleurs, bref, une panna cotta sans fruit) serait lourde et pâteuse… Grave erreur ! C’est une TUE-RIE 😀 Seul bémol, toujours le même : il ne faut pas d’envie pressante. Les panna cotta se préparent la veille pour le lendemain, ou du moins quelques heures à l’avance, mais croyez-moi, on les apprécie d’autant 😉
Je vous présente LE dessert super fastoche, qui fait toujours son petit effet. Les panna cotta se préparent en 2 coups de cuiller à pot, idéalement la veille pour le lendemain (ce qui vous débarrasse en plus de la case dessert le jour J). Depuis 2011, je suis fidèlement les proportions de cette recette. En hiver, j’écrase grossièrement des framboises surgelées (mais décongelées !) à la fourchette, alors qu’en été, je profite bien sûr des fruits rouges et frais 😉
J’en profite pour vous confier mon secret de conservation des gousses de vanille… Je les congèle ! Bien collées serrées, entortillées dans un sachet hermétique duquel je fais soigneusement le vide d’air. J’ai eu la chance de ramener de la vanille délicieusement parfumée de l’île Maurice, que je me suis procurée directement dans la plantation. Quel plaisir de les exhumer 1 à 1 au fil des mois… À chaque fois je m’envole pour quelques secondes dans l’hémisphère sud. Pour vous y envoyer vous aussi, je vous colle au-dessous 2 photos, c’est cadeau 😀
Aah les fruits d’Ardèche mûris au son des cigales… Je vous en parlais avec mes boulettes de courgettes (ça rime !) ils sont charnus, juteux, ils embaument et offrent des saveurs inégalables ici. Ici, c’est le nord-est de la France. Et même si j’aime profondément ma région (qui s’appelle comment déjà ?! Ah oui, Grand Est !) Je dois bien avouer que les fruits de nos étals voient davantage les camions frigo que le soleil 🙁
Je me réjouis donc de faire perdurer le goût des vacances en me délectant des produits choisis sur les petits marchés et chez les producteurs ardéchois. Entre mes pattes, leurs beaux abricots ont fini dans ce petit encas fort sympathique, rafraîchissant, gourmand et tellement simple à faire ! Il se laisse grignoter au goûter, au dessert ou au petit-déjeuner. Ceux qui ne sont pas branchés produits laitiers remplaceront les yaourts par une crème dessert au soja 😉
Ça ressemble à une panna cotta vanille, ça ressemble à un coulis de fruits rouges… Mais comme le Canada Dry en son temps, cette petite verrine se déguste à l’apéritif plutôt qu’au dessert. Lorsque cette idée m’a traversé l’esprit, je pensais naïvement être la 1ère à l’avoir eu. C’était sans compter sur la créativité d’Anne, du blog Station gourmande qui m’a devancée il y a quelques années 🙂
Cette panna cotta salée a toute sa place dans la 33ème Bataille Food (dites 33) placée sous le signe de la « La Dolce Vita ». Un thème qui tombe à point en ces débuts printaniers qui promettent du soleil et de la douceur à venir 🙂 Une fois n’est pas coutume, c’est Olivier (un hoooomme !) qui parraine cette édition. C’est justement sa condition de parrain et son humour qui lui ont donné envie d’Italie (parrain, mafia… Je vous laisse emprunter les raccourcis qui s’imposent). D’autant qu’Olivier, restaurateur lyonnais du blog Sharing cuisine n’a jamais caché avoir un homme de main… Un moustachu qui répond au nom de monsieur Woody. Ne nous laissons pas berner par sa tête de cuillère en bois, ce doit être une couverture.
Au-delà d’un doux air de Dolce Vita, le thème de cette bataille imposait l’utilisation d’un fromage italien et d’un fruit ou légume de saison… J’ai conscience d’être très limite sur le légume de saison, mais avouons qu’une panna cotta combinant olives, basilic, parmesan, poivron, tomate et câpres, on fait rarement plus italien, non ? Toutes les couleurs du drapeau y sont, en tout cas !
Pour mémoire, la Bataille Food est un jeu culinaire réunissant chaque mois blogueurs et amateurs de cuisine autour d’un thème impliquant 2 ingrédients imposés. La fondatrice de ce gentil concours est Jenna, du très beau blog Bistro de Jenna. Le principe veut que le lauréat d’une édition organise la suivante, propose un thème et désigne son successeur. Les participants publient une recette inédite et illustrée sur leur page Facebook et/ou leur blog chaque 1er mercredi du mois à 18h00 tapantes. Je suis au rendez-vous pour la 4ème fois déjà !