Célébrer Mardi gras ouiii ! Mais se goinfrer de gras nonnn !
J’avais relevé cette recette du blog Maman ça déborde, depuis que ma collègue S. avait eu la délicieuse idée d’en ramener au bureau… De vrais beignets, très peu gras et peu sucrés mais super moelleux ? Promesse tenue ! Il paraîtrait que le fait de les tremper brièvement après cuisson explique ce moelleux. Mais mieux vaut les dévorer rapidement, car chez moi le sucre d’enrobage s’est un peu détrempé en fin de journée.
Mes beignets ont peu coloré car je les ai cuit dans le bas du four, en pleine séance de batch cooking, alors que j’avais un autre plat au-dessus 🙂
Vous ai-je déjà dit que Mini-biscuit a une petite chérie ? Et bien Nini a toutes ses faveurs, c’est adorable à voir ♥ Alors pour la recevoir à goûter, j’ai mis toutes les chances de son côté en me replongeant dans l’incontournable livre 365 recettes pour Bébé de Christine Zalejski.
J’y ai pioché non-innocement cette recette de gâteau aux pommes. Ca n’était pas innocent pour 2 raisons : 1. parce que Mini-biscuit a du mal à manger des fruits et 2. parce que ce gâteau convient aussi très bien aux parents, nous !
Si vous huilez le moule plutôt que le beurrer, vous obtiendrez un parfait gâteau sans laitage. Retrouvez cette recette sur le précieux blog Cubes et petits pois.
Autant dans ma Moselle natale que dans mon Luxembourg d’adoption, les fêtes de Noël ont immanquablement un petit goût de stollen. Normal, le stollen est originaire d’Allemagne, et n’en déplaise à certains, mon coin est très fortement imprégné de culture germanique.
Donc perso, pour réussir le petit-déjeuner de Noël, il me faut : les gens que j’aime, des chants de Noël, mon mug Noël (motif bonshommes de neige) et une belle tranche de Stollen à tremper dedans. Mais attention, pas n’importe quel stollen… Celui avec du massepain dedans !
Je ne crois pas avoir jamais orienté Mini-biscuit à s’intéresser aux engins de chantier, et pourtant, il leur voue un véritable culte ! En fait, il a commencé à admirer les camions poubelles et les balayeuses, puis toute la panoplie des engins de chantier, et plus récemment les tracteurs, les camions de pompier et les trains. Je crois qu’il y a quelque chose d’universel à ce que les petits garçons se passionnent pour les véhicules en tout genre, ceux de chantier en particulier.
« Quel bonheur de voir sa mine réjouie, ses yeux brillants et son sourire intimidé »
Pour son 2ème anniversaire, et pour lui faire le plus grand plaisir possible, j’ai voulu lui préparer un gâteau « chantier ». Je me suis alors mise en quête d’inspiration, en collectant un grand nombre de photos dans mon album Pinterest, que je vous invite à découvrir. À force de voir passer ces dizaines de gâteaux et de m’en imprégner, j’ai imaginé ce modèle unique, pour mon Mini-biscuit, qui compile ce qui me semblait à la fois mignon et dans mes cordes :
– Un balisage jaune et orange en M&M’s, des gravas en Maltesers et quelques engins plus que réalistes
– Son âge au pochoir, ici avec des Oreo écrasés façon graviers
– Un coin du gâteau est réellement en chantier, puisqu’il a été prélevé par la pelleteuse. Les anglo-saxon parlent d’un « digger cake », digger signifiant pelleteuse en anglais
Question recettes, je me suis à la fois inspirée :
– D’une base de Molly cake au cacao trouvé sur le blog Pompons et macarons. L’avantage du Molly cake, c’est que le beurre y est remplacé par de la crème fouettée. Du coup, pas de culpabilité à en mettre un peu dans le glaçage 🙂
– Du glaçage au cream cheese du blog Sally’s baking addiction
De ces 2 recettes, j’ai drastiquement réduit la quantité de sucre. Question de goût, et ça n’est juste pas possible pour moi d’en mettre autant. Honnêtement, tout le monde a apprécié comme ça.
« Vous pouvez suivre la même recette pour faire un gâteau classique, ou pour imaginer une autre mise en scène, du goût de votre Biscuit à vous ! »
Quel bonheur ça a été de voir la mine réjouie de mon Mini-biscuit, ses yeux brillants, son sourire intimidé, sa joie de souffler et de faire rallumer ses bougies ♥ Dès les roues des engins débarrassées de leur boue en chocolat, quel bonheur pour lui de jouer avec, à grand renfort de « vrrrr » et de « tut tut ». Beaucoup plus intéressant que de goûter au gâteau lui-même, il n’y a pas touché !
J’ai beau savoir que la terre a dramatiquement besoin d’eau et que cette pluie est une bonne chose, le retour de l’automne et la grisaille ambiante me filent le bourdon. En pareille situation, rien de mieux que de trouver un peu de réconfort avec une raclette un bon gâteau.
Pour réaliser ce joli gâteau au chocolat et à la crème de marrons, je me suis inspirée de la recette de Lumir, du très joli blog Voyage Gourmand. J’ai personnellement réduit la quantité de marrons (400 g plutôt que 500 g) car j’utilise une très bonne crème artisanale, bio et peu sucrée. Moins de sucre = plus de marrons, j’ai donc pensé qu’il y aurait besoin de moins pour goûter la même intensité de marrons. En définitive, avec 400 g, la texture du gâteau est parfaite : une petite croûte craquelée et cuite à point, un cœur absolument fondant. Mais question goût, la châtaigne est subtile. On la sent, bien sûr, mais le chocolat prend le dessus. Pas sûre qu’une boîte de 500 g du supermarché aide à rééquilibrer les saveurs, mais j’essayerai, parce qu’il vaut le coup !
Moi qui pensais en avoir fini avec la rhubarbe cette année, voilà que l’une des mamies est venue avec un bon kilo de tiges du jardin ! L’essentiel est parti en compote (parce qu’avec Nom-de-code-chéri on aime vraiment ça) et pour le reste, j’ai cherché de quoi innover un peu… Ayant déjà tenté pas mal de trucs cette année (tiramisu, moelleux, tarte tatin…) j’ai tapé « idée recette rhubarbe » sur Google (ou quelque chose comme ça) et suis arrivée sur le blog Mes recettes healthy, que je ne connaissais pas. J’ai vite compris qu’Anaëlle et moi partagions plus que l’amour de la rhubarbe, par exemple l’idée que notre santé passe par l’assiette et une démarche vers le zéro déchet.
Ce moelleux à la rhubarbe sans beurre m’a immédiatement rappelé mon délicieux moelleux à la banane sans sucre, sans beurre, sans gluten… Faudrait vraiment que je le refasse celui-là ! Parce que j’avais beaucoup de rhubarbe à disposition, j’ai un peu augmenté la proportion de fruit, sans toucher aux autres ingrédients de la recette initiale. On a trouvé le résultat parfaitement sucré (il n’en fallait pas plus pour nous) et surtout extrêmement moelleux, du moins le jour même… Avec les températures et malgré qu’il soit (pueut-être pas assez bien emballé ?), le gâteau avait un peu séché dès le lendemain.
Je trouve maintenant une poudre d’amandes mondées, c’est-à-dire que leur petite peau brune a été conservée. Cette poudre est donc assez… brune. Elle est infiniment plus parfumée que la poudre que l’on trouve habituellement (d’amandes émondées, c’est-à-dire épluchées). En la battant avec les autres ingrédients, il m’est venu quelques effluves pralinées, mmh. Dans le moelleux avec la rhubarbe, son goût s’est quand même fait très discret.
Lorsqu’elles sont venues fêter le « moiniversaire » de Mini-biscuit, les 2 mamies sont chacune venues les bras chargés de rhubarbe de leurs jardins respectifs. Ce qui tombe parfaitement bien puisque j’adore la rhubarbe et Nom-de-code-chéri aussi ! Habituée à la préparer sous forme de tarte, de crumble ou de compote, j’avais cette fois assez de tiges pour tout cuisiner à la fois. C’était bien l’occasion de tester une nouveauté 😉
En cherchant l’inspiration sur internet, je suis arrivée sur le très joli blog Au Fil du Thym, une chouette découverte. Florence (qui semble aimer la rhubarbe autant que moi) y propose ce moelleux, qui porte tellement bien son nom. Car de ma vie, je ne crois pas avoir mordu dans un gâteau AUSSI moelleux… incroyable !
Après le « Diplodocake » préparé pour le 1er anniversaire de Mini-biscuit, voici le « Piranhacake » avec lequel nous avons fêté ses 18 mois !
Les gâteaux poissons abondent sur le web (tapez un peu « gâteau poisson » sur Google Images et vous verrez !) Le concept est on ne peut plus simple : prélever une part du gâteau et la positionner pour en faire une queue, alors que le vide laissé représente la bouche. Le 1er que j’ai vu sur Pinterest est celui du blog Les Recettes de Maud, qui semble avoir inspiré beaucoup d’autres blogueuses. Je me suis vite prise au jeu et j’ai cherché à sophistiquer un tout petit peu mon poisson, en lui découpant un sourire plutôt qu’une simple part, en lui faisant des dents de piranha en Chamallows et en profitant que mon gâteau soit coupé en 2 dans l’épaisseur (pour le garnir de chocolat) pour faire des 2 couches une queue ET une nageoire !
Pour la recette elle-même, j’ai comme d’habitude pioché dans les classiques familiaux. Vous pouvez d’ailleurs suivre cette recette pour faire un gâteau classique, qui n’ait rien d’un poisson ! C’est une ganache au chocolat classique, celle-là même qui sert dans ma tarte au chocolat (les proportions sont ici réduites de moitié) sous laquelle se cache un biscuit assez proche d’une génoise, mais plus facile à faire. Alors qu’une génoise se monte au bain-marie à une certaine température, ce biscuit gagne en volume grâce aux blancs d’œufs battus en neige.
À l’approche de Pâques, il est grand temps de vous poster une recette au chocolat ! Au chocolat, mais pas que… Si comme moi, vous êtes fans d’amaretti, ce petit macaron italien à l’amande amère, vous allez ADORER ce délicieux gâteau. Les amaretti réduits en poudre y remplacent la farine.
La 1ère fois que j’ai découvert ce gâteau, c’était lors d’un cours de cuisine, donné par une italienne. Ça fait bien longtemps et je n’ai malheureusement jamais pu remettre la main sur cette recette… L’avais-je seulement reçue un jour ?! Je me suis mise en quette d’une recette similaire sur internet, j’ai trouvé celle de Carole, sur son très joli blog Alter Gusto. Sa recette est sublime, meilleure que celle du cours du cuisine 😉 Le goût d’amande n’est ni trop discret, ni écœurant, il est parfaitement dosé avec le chocolat. La texture est moelleuse comme il faut, un délice !
Si l’immense majorité des gourmands connait les brownies, peu connaissent sa petite sœur, les blondies. Les 2 gâteaux nous viennent tout droit d’outre-Atlantique et se servent en parts carrées, à la différence que le « brown » (ou brun) tient sa couleur du chocolat, tandis que le « blond » doit sa couleur au sucre roux.
On trouve sur internet plusieurs écoles en matière de blondies… Comme d’habitude, les recettes vivent et se transforment au fil des habitudes et des préférences de chacun. On en trouve au chocolat blanc ou avec des pépites de chocolat noir, avec des noix, des noix de pécan ou de macadamia, et le plus souvent avec une touche de vanille. Pour mettre au point ma recette, je me suis en partie inspirée de celle d’Anne-Sophie, du joli blog Fashion Cooking. Je l’ai voulue raisonnablement sucrée, car le chocolat blanc apporte déjà une bonne dose de douceur.