C’est aujourd’hui le printemps ! Youpiii ! D’autant que le soleil nous a honoré de sa présence toute la journée –même s’il neigeait encore hier, trop bizarre. Ce velouté, c’est justement la recette joker qui fonctionne par tous les temps. La vraie bonne recette du placard à base de 2 bocaux ou conserves : du maïs et du lait de coco.
Le combo des 2 est un vrai délice sucré-salé. Surtout sucré d’ailleurs. Mais ne vous y trompez pas, ce potage est très nourrissant. Du coup 1 bol chacun c’était presque trop… C’est une bonne idée à garder pour en faire de belles petites verrines apéro, quand on pourra recevoir les copains à nouveau 🙂
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog Meg & cook de Mégane.
Même si j’adore les galettes en tout genre, j’en prépare assez peu. C’est un peu de chipotage pour les façonner (la patience n’est pas ma plus grande vertu) et 1x sur 2, je les casse en les retournant dans la poêle (en plus d’être déjà moches avant d’être retournées et cassées). Si, si, voyez mes paillassons aux carottes et poivron rouge : excellents, mais moches (j’ai modestement caché la misère avec des feuilles de basilic). Sauf que voilà, RÉVOLUTION ! Ces galettes-là cuisent au four ! Moins grasses, moins moches, moins cassées et… le bonheur fondant de la patate douce (sans crise de nerf) : alléluia !
La patate douce en ce moment c’est ma grande copine. Sa chair orangée est délicieusement sucrée, son index glycémique est pourtant plus bas que celui de la pomme de terre. Elle est en plus au top sur la vitamine A, qui profite à la croissance de Mini-biscuit, à ma vision de taupe et à ma peau… L’huile de foie de morue regorge aussi de vitamine A, mais voilà quoi.
Comme vous le voyez, on a dégusté ces jolies galettes dorées avec une salade. Si vous êtes motivés, elles feraient également un bel accompagnement. Les adorables petites feuilles que vous voyez-là, c’est du pourpier d’hiver, aussi appelé claytone de cuba. Les feuilles fleurissent au printemps, c’est encore plus mignon, je vous montrerai ça ! Pour cette recette, j’ai puisé l’inspiration chez ma copine Marie du blog Not Parisienne.
Ah les bonnes tartinades… Elles ne sont pas réservées à l’été ! D’autant que, dans précisément un mois jour pour jour, nous célébrerons l’arrivée du printemps. J’ai tellement hâte ! En voyant le soleil et les températures de ce week-end, whaou, j’ai l’impression de commencer à me réveiller doucement d’une interminable hibernation… Pour m’éveiller à quoi, je ne le sais pas encore, mais ça viendra 🙂
Quoi qu’en soit le contexte, ce nouvel houmous aux pois cassés est vraiment excellent : frais, sain, on y revient sans faim ! Je l’ai préparé la veille pour le lendemain, et j’ai l’impression qu’il a davantage développé ses saveurs que le jour J. Si vous souhaitez faire pareil, n’oubliez pas de faire tremper vos pois cassés à J-2 !
Je me suis inspirée de la recette de Camille, sur son très joli blog Rosenoisettes.
Dès que Mini-biscuit a commencé à parler, certains mots ont retenu toute sont attention –oserais-je parler de coups de cœur littéraires ?! Il les répétait, guettait nos réactions… Et « patate douce » fait partie de ceux-là. Aaaah « patate douce », il veut maintenant que je lui chante « patate douce » le soir. Vous connaissez la chanson « patate douce » vous ? Moi non plus, mais j’improvise sur l’air de Petit Papa Noël, du grand art ! #pleinederessources
Donc voilà, ça fait une petite éternité que je voulais faire des gaufres de légumes, et je m’y colle enfin, avec des… patates douces. Tiens, tiens. Sans surprise, Mini-biscuit s’est régalé (Nom-de-code-chéri aussi) mais moi, je crois que j’aurais aimé les rehausser un peu, peut-être avec un guacamole ou des chips de lard. Ah oui, on est végé ! Mais vous, n’hésitez pas à y coller un p’tit quelque chose en plus 😉
Je crois vous avoir déjà dit que la crèche de Mini-biscuit ne pourrait pas l’accueillir avant la mi-juillet. Or depuis le temps qu’il prend tous ses goûters à la maison, j’essaye de varier les plaisirs ! En fouinant à la recherche de nouvelles idées, je suis tombée sur cette recette d’une simplicité déconcertante !
Ces petites galettes hyper efficaces seraient d’origine antillaise. Elles se réalisent normalement avec des bananes plantain et de la farine de riz. Allez, sortez votre poêle, c’est bientôt l’heure du goûter !
Mes galettes se sont avérées un poil caoutchouteuses, je pense que la banane était trop mûre.
Il y a quelques jours, mon Mini-biscuit fêtait ses 2 ans et demi. Vous savez à quel point les « demis » comptent à cet âge 🙂 Quand je pense que le (presque) blog va lui-même avoir 5 ans dans 15 jours, je ne peux m’empêcher de relever que j’ai été maman la moitié de ma vie de blogueuse… Mais là n’est pas le sujet, car la vraie question est : combien de bougies met-on sur un muffin pour célébrer 2 ans et demi ? Ha haaa, vous ne l’avez pas vu venir celle-là ! Et bien après avoir brièvement hésité, j’ai opté pour 2 bougies, voilà.
Sans hésitation cette fois, la recette des muffins, je l’ai choisie sur le formidable blog Cubes et petits pois. Et pour une recette « dès 24 mois », pouah là là, je crois que c’est le meilleur gâteau banane chocolat que j’ai jamais mangé ! N’en déplaise à mon délicieux moelleux à la banane et aux pépites de chocolat (sans sucre, sans beurre, sans gluten mais rudement bon quand même).
Tout délicieux qu’ils sont, Mini-biscuit s’est montré beaucoup plus intéressé par les bougies que par les muffins eux-mêmes. Maintenant qu’il sait souffler les flammes comme un chef, on les a allumées, rallumées et ra-rallumées pour que Mini-biscuit ait le plaisir de les éteindre <3
La vie est pleine de surprises ! À l’origine de ce gâteau express, nous avons 2 bananes en train de noircir, une recette de pancakes et un moule beurré par erreur… Et voilà comment les pancakes se transforment en gâteau sain, sans matière grasse et très peu sucré, à l’attention de… Mini-biscuit bien sûr !
Tout a commencé en lisant un livre à Mini-biscuit (encore une fois). La mamie du personnage principal, un petit oiseau qui entame un long périple, lui donne des cookies… Ce qui m’a donné une furieuse envie de cookies ! Plutôt que de refaire mes (délicieux) cookies aux éclats de chocolat, Pralinoise et noix, j’ai eu envie de tester une nouvelle recette. Je me suis laissée tenter par celle-ci, qui affiche 929 notes à 5/5. Je ne prenais pas beaucoup de risques 🙂
J’ai néanmoins conservé la vergeoise de ma recette. À ne pas confondre avec la cassonade (sucre roux extrait du jus de canne à sucre), la vergeoise est issue du sirop de betterave. Sa mouture fine ne craque pas sous la dent, son goût typique des Spéculoos donne une petite note caramélisée et sa jolie couleur ambrée donne un teint de soleil à nos cookies.
Plutôt que des pépites j’ai utilisé des callets, c’est-à-dire des petits galets de chocolat à pâtisser. Avant je trucidais une tablette au couteau (sans me faire mal) et ce sont bien les meilleures pépites au monde 😉
Voilà que Mini-biscuit ne veut plus manger de bananes et qu’elles noircissent dans le panier à fruits… Parfait ! L’occasion toute trouvée de tester les pancakes à la banane que je lorgnais depuis quelques temps 🙂 On s’est tous régalés, Mini-biscuit avec, qui a donc mangé des fruits sans même s’en rendre compte !
Je me suis inspirée de la recette de Lucie, sur Healthyfood _creation. Comme le nom de son blog l’indique, ces pancakes sont ultra sains : pas de sucre ajouté (seulement le sucre naturel des bananes bien mûres), pas de matière grasse, quoi que j’ai mis une écaille de beurre dans ma poêle… Ce qui donne bonne conscience pour y verser un peu de sirop d’érable, les tartiner de gelée de groseilles ou de pâte choco-noisette maison.
Je fais très régulièrement des crêpes, mais croyez-le ou non, je n’avais encore jamais préparé de pancakes !
Comment dire ? Allons-y franchement : je n’aime pas les blettes ! Ni les épinards, sauf à grand renfort de pâtes et de sauce tomate… Mais c’est la pleine saison, Nom-de-code-chéri adore ça, et il en pousse plein le potager. Des blettes, des bettes, appelez-ça comme vous voulez. À mon grand désarroi.
Je me suis mise en quête de la recette qui me ferait passer apprécier les blettes. Et c’est sur le blog Rock the bretzel que j’ai trouvé cette recette de tarte qui, je cite Miss Bretzel « permet d’apprendre à aimer les blettes tout en douceur ». Parce qu’elle est comme moi Miss Bretzel, elle n’aime pas les blettes. Sûrement pas une amie des épinards non plus…
Bref. Nom-de-code-chéri s’est régalé, Mini-biscuit aussi. Moi, je poursuis ma quête. C’est dire si les amateurs de blettes vont l’aimer, cette tarte « tout en douceur » !