Vous verriez la photo au recto de la fiche Elle, vous comprendriez que cette recette ne date pas d’hier : table orange, saladier en bois, mise en scène ringarde… Pourtant 40 ans après, ce taboulé répond toujours présent à la table des barbec’ familiaux. Mieux, on le réclame !
Depuis le temps on l’a un peu adapté à notre sauce : on a viré les oignons, ajouté les raisins secs, doublé la dose de menthe et forcé sur le citron. Et nous voici parvenus au Saint Graal du taboulé 😀 Et comme je suis vraiment sympa, je vous dévoile notre recette ici !
Ne vous y prenez pas à la dernière minute, il faut au moins 2 heures à la graine pour gonfler. Elle s’imbibe du jus des citron, des tomates et de l’huile. L’idéal c’est de préparer ce taboulé la veille pour le lendemain, ça laisse aux saveurs le temps de s’exprimer !
Les 2 grands-mères de Mini-biscuit sont branchées à fond jardinage, plantes, nature. L’une n’a pas son pareil pour arranger les fleurs, l’autre pour cultiver son potager. C’est justement après une visite du potager que je suis rentrée les bras chargés de bonnes choses à faire goûter à Mini-biscuit. Parmi elles, un énorme bouquet de cerfeuil.
En cherchant des recettes pour bébé à base de cerfeuil, je n’ai trouvé que des purées assaisonnées d’une seule branche… Il figure pourtant parmi les ingrédients principaux d’une certaine soupe au cerfeuil ! J’ai donc essayé de faire goûter à Mini-biscuit une purée qui en contienne à plus haute dose, en l’adoucissant avec la pomme de terre (pour rassasier), la carotte (pour sucrer) et du lait maternisé (pour l’onctuosité). Mini-biscuit s’est régalé !
Les légumes à feuilles (comme le cerfeuil mais aussi les épinards, les salades et dans une moindre mesure les carottes) contiennent des nitrates, même lorsqu’ils sont bio. On élimine donc l’eau de cuisson et on mixe avec une eau minérale pour bébé ou ici avec un peu de lait maternisé. On veille aussi à espacer ces légumes dans la semaine de bébé 😉
Choses promises… Choses promises ! Précisément 2 mois après que Mini-biscuit ait goûté à sa 1ère carotte (l’indétrônable classique de la diversification alimentaire) j’inaugure la nouvelle rubrique bébé du (presque) blog avec une compote de fruits qui a parfaitement fait ses preuves au goûter. Oui, le (presque) blog a officiellement un nouveau goûteur !
Banane et nectarine : 2 fruits que je n’aurais pas particulièrement pensé associer pour nous, pourtant quelle délicieuse surprise ! L’idée était d’apporter le juteux et la pointe d’acidité de la nectarine à la banane plus épaisse et douce. Le résultat était à la hauteur : bonne consistance, saveur au top. J’en veux pour preuve les « ah, ah, ah » pressants et insistants de Mini-biscuit entre chaque cuillerée 😀
Comme je l’explique dans 2 super articles que je prépare sur l’introduction des 1ers légumes et des 1ers fruits, on introduit d’abord 1 nouvel aliment à la fois. Après cette étape et après s’être assurée que bébé ne fait aucune réaction allergique à la banane ou à la nectarine, alors on peut démarrer les mélanges comme cette délicieuse compote de banane et nectarine.
Ah mes lecteurs ! Je vous délaisse un peu ces dernières semaines… Je suis pourtant tous les jours en cuisine. J’y prépare des purées et des compotes pour mon Mini-biscuit d’amour <3 J’espère d’ailleurs étrenner rapidement ma nouvelle rubrique consacrée à la cuisine de bébé. J’y travaille, mais tout occupée que je suis à ramasser la girafe Sophie pour la 30ème fois, les choses se font plus lentement 😉
Me voici tout de même avec un plat qui sent bon le retour des beaux jours. J’ai craqué chez l’épicier pour la 1ère aubergine de la saison, puis j’ai simplement attendu que les températures baissent un minimum pour rallumer mon four ! Je me suis inspirée de cette recette de Virginie, en faisant avec les ingrédients du bord, raison pour laquelle je n’ai pas suivi ses proportions à la lettre. On s’est quoi qu’il en soit régalés. Servi avec un peu de riz (arrosé du jus des légumes) ce tian est parfait pour un petit dîner en toute simplicité.
Le soleil printanier, les manches retroussées, la nature qui renaît, les longues balades en landau et de belles bottes d’asperges de retour sur les étals… Un joyeux package qui me met d’humeur festive !
Alors pas de chichi entre nous, tarte crémeuse = quiche… en plus élégant 😉 Pour cette première tentative, j’ai regretté que le parmesan prenne un peu le pas sur le goût délicat des asperges (j’ai donc réduit la proportion dans la recette ci-dessous) mais j’ai adoré la fraîcheur apportée par la mâche. Et vous, vous en pensez quoi ?
La 1ère fois que je vous ai proposé cette recette, c’était en janvier 2016. Aujourd’hui encore, ce petit curry tout doux figure en tête des recettes les plus consultées du (presque) blog. Il occupe la 2ème marche du podium, derrière le café blanc libanais (qui n’a rien d’un café, cliquez donc pour voir !) et devant ma soupe péruvienne au quinoa. Curry à tendance indienne, Liban, Pérou… Ma cuisine est un voyage !
Bref, concours de circonstance aidant, j’avais sous la main tous les ingrédients pour reproduire ce curry rapide, même le poivron qui me faisait défaut il y a 2 ans. L’occasion était trop belle pour ne pas tester ma propre recette, lui faire subir une sorte de contrôle qualité et vérifier si ses stats de choc sont justifiées… Réponse ? Un plat facile et agréable qui tient bien a route 😉
En vous listant les plus et les moins de cette formule, je soulignais que leurs recettes pouvaient combiner des ingrédients que je n’aurais jamais osé associer. Eh bien pour le coup, je n’aurais jamais osé mettre de la salade dans une purée !!! Résultat ? Un plat à la fois rassasiant et frais ! Ça vous tente ?
Je vous disais aussi que leurs proportions sont généreuses. Ces quantités annoncées pour 2 nous ont fait 3 bonnes assiettes. Et le verre de vin, sur la photo, se sirote avec modération 😉
J’ai testé HelloFresh, vous connaissez ? Il s’agit d’une box livrée à domicile, contenant des fiches recettes et les ingrédients nécessaires pour les réaliser. Au préalable, on passe commande des recettes que l’on souhaite parmi celles au menu et on précise le nombre de personnes. Leur promesse : livrer des ingrédients frais et des recettes saines directement chez nous chaque semaine. Alors, promesse tenue ?!
Les plus
– Le choix de recettes : elles sont originales et combinent des ingrédients que je n’aurais jamais pensé ou pas osé associer. Elles permettent donc de découvrir des plats que l’on ne ferait pas forcément de nous-même. Génial pour ceux qui ont besoin d’un coup de pouce en cuisine ou qui sont en manque d’inspiration… Ce n’est certes pas mon cas, mais j’ai apprécié la découverte !
– La souplesse : il n’y a pas d’engagement, on peut suspendre son « abonnement » à tout moment
– La livraison : le livreur est charmant et ponctuel, à une heure où on est chez nous
– Le conditionnement : les ingrédients sont emballés par plat (emballages recyclables), tout est pesé, il n’y a vraiment plus qu’à cuisiner !
– Les fiches recettes : facile à suivre, elles sont illustrées étape par étape et mentionnent en plus le bilan calorique, l’accord met-vin…
– Les plats : on a aimé et j’ai apprécié qu’ils soient effectivement sains
– Les portions : elles sont généreuses ! Ce plat annoncé pour 2 nous a fait… 4 rations !
Les moins
– La saisonnalité : proposer des recettes à base de tomates ou de courgettes en février c’est moyen moins
– Le prix : j’avoue avoir profité d’une offre découverte à -50 %, sans quoi le prix m’aurait vraiment bloquée. À la réflexion, et comme je suis satisfaite de ma découverte, la box de 3 repas x 2 personnes (+ les tupps’ bonus) équivaut l’addition d’un petit restau pour 2 donc… Une fois de temps en temps, je suis prête à me laisser tenter 🙂
HelloFresh livre au Benelux et en Suisse mais je ne crois plus en France. La liste des pays ici.
Rendons immédiatement à César ce qui lui appartient : Nom-de-code-chéri a réalisé cette recette ! Pas moi, j’avais Mini-biscuit dans les bras <3 Il avait repéré les fiches recettes du magazine Elle, seule lecture que j’ai pu mener à bien depuis la naissance de Mini-biscuit… Il est loin le temps où j’enchaînais un bouquin derrière l’autre !!! Voir ici par exemple mes nombreuses lectures de grossesse !
Bref, la fiche est signée de Carrie Solomon, américaine basée à Paris et auteur de plusieurs livres de recettes. Pour celle-ci, elle conseillait 1 œuf pour 1 courge (environ 800 g de chair). On a légèrement changé les proportions et on a beaucoup apprécié cette 1ère expérience de la courge spaghetti !
La courge spaghetti, vous connaissez le principe ? Sa chair est naturellement filamenteuse. Après cuisson, on la prélève à la fourchette et on obtient des filaments comme des spaghetti, d’où son nom 😉
Samedi matin. Je profite que Nom-de-code-chéri puisse garder Mini-biscuit à la maison pour aller me faire refaire un tête chez le coiffeur. Je rentre à 13h avec une nouvelle crinière de lionne* et l’estomac bien creux. Je veux faire un petit truc rapide… Des pâtes par exemple. Et voilà comment quelques champignons et un peu de mozza plus tard on s’est régalés de cette assiette.
Si vous avez l’habitude des plats en crème et que ces pâtes semblent un peu sèches à votre goût (ça ne l’était pas pour Nom-de-code-chéri et moi), arrosez d’un trait d’huile d’olive. Les amateurs pourront également ajouter une gousse d’ail.
* Ma collègue S. m’apprendra plus tard que l’expression « crinière de lionne » a fait scandale lors de la dernière élection Miss France (regard exaspéré). Alors pour être claire : je ne trouve RIEN de raciste ou de ségrégant dans cette expression. J’ai véritablement une crinière bouclée, couleur savane, et moi ça me fait bien marrer d’être une lionne.