Ça faisait bien longtemps qu’on n’avait fait ni curry, ni brocoli sur le (presque) blog ! Vous savez pourtant que j’adore les 2, et j’espère que vous aussi 😉Sinon, euh, ne partez pas tout de suite siouplé 😅 Ici je reprends les fondamentaux de mon petit curry rapide de patate douce et brocoli au lait de coco, qui reste depuis des années l’une des recettes à succès du blog. J’ai simplement troqué les patates douces pour des lentilles corail et accompagné le tout de quinoa. Du riz basmati ou du boulgour iraient aussi bien !
Êtes-vous plutôt dans le team « il fait trop chaud, j’arrive pas à dormir, j’en peux plus ! » ou dans le team « youpi, enfin l’été, je revis ! » ? Moi, après avoir vécu 4 étés dans un appartement-fournaise sous les toits, c’est juste le bonheur d’avoir une maison qui garde le frais ! Donc je me place bien volontiers dans la 2ème équipe 🙂 Pour autant, ces derniers jours, on a quand même vécu de salades et d’eau fraîche.
Avant que ça ne soit officiellement l’été demain (youpiii !), je profite de cette dégringolade subite des températures pour vous proposer un plat qui requinque après l’orage. Un minestrone, cette délicieuse soupe italienne agrémentée de pâtes… Dans cette version printanière, exit les haricots qui tiennent au corps et bonjour les petits légumes primeurs !
Pour ce minestrone, je me suis inspirée d’une recette de Delphine Paslin.
Ma 1ère expérience du tapioca s’était révélée désastreuse. C’était à un certain point de la diversification alimentaire de Mini-biscuit. Je voulais qu’il goûte à TOUT et le manioc m’avait semblé être une bonne idée. Résultat des courses, au lieu d’obtenir de quoi épaissir sa petite purée, je m’étais retrouvée avec une pleine casserole de… colle à papier peint 😅
Et puis récemment je suis tombée sur cette recette en feuilletant innocemment La bible du potager bio. C’est la saison de la rhubarbe, on adore ça, la coco aussi, alors go ! C’était l’occasion de me réconcilier !
Le tapioca perlé est plus épais que la semoule de ma 1ère expérience et clairement, j’ai A-DO-RÉ ces verrines ! La compote de rhubarbe est plus sucrée que celle que je fais d’habitude (mais n’a rien d’écœurant). Son acidité se balance à merveille avec la douceur de la coco. Un franc succès, j’en referai !
Vous dites plutôt pois mange-tout ou pois gourmands ? Il paraît que ce n’est pas la même chose, mais je suis bien incapable de les différencier et les appelle plus volontiers mange-tout !
Quel que soit leur nom, j’ai beaucoup aimé cet assaisonnement à la sauce soja ! Pour un 1er repas on les a mangés tel quel en accompagnement. Le reste, je l’ai mélangé avec des nouilles chinoises aux œufs, quelques petits pois, des rondelles de carottes, une fine omelette coupée en lamelles, du gingembre, re-ail, re-sauce soja et un peu d’huile de sésame. Un plat complet que je n’ai pas photographié (désolée !!!) mais qui nous a bien régalé.
Pour cette recette, je me suis très librement inspirée du site Cuisine libre.
Depuis le temps que je le rabâche, vous avez dû comprendre que les épinards (et les blettes) ne sont pas ma tasse de thé 🙄 Pourtant il en pousse plein le jardin et mes 2 hommes adorent, donc je cherche toujours des façons sympas de les accommoder. Or plein d’épices, de la patate douce, des pois chiches et du lait de coco, c’est typiquement « sympa » pour moi.
Nous voici donc partis avec ce curry joliment coloré et super parfumé qu’on a tous les trois adoré ! Je l’ai accompagné de quinoa pour changer (et parce que j’aime ça) mais sentez-vous libre de le remplacer par du riz basmati ou autre.
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog Amandine Cooking.
C’est aujourd’hui le printemps ! Youpiii ! D’autant que le soleil nous a honoré de sa présence toute la journée –même s’il neigeait encore hier, trop bizarre. Ce velouté, c’est justement la recette joker qui fonctionne par tous les temps. La vraie bonne recette du placard à base de 2 bocaux ou conserves : du maïs et du lait de coco.
Le combo des 2 est un vrai délice sucré-salé. Surtout sucré d’ailleurs. Mais ne vous y trompez pas, ce potage est très nourrissant. Du coup 1 bol chacun c’était presque trop… C’est une bonne idée à garder pour en faire de belles petites verrines apéro, quand on pourra recevoir les copains à nouveau 🙂
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog Meg & cook de Mégane.
Ah les bonnes tartinades… Elles ne sont pas réservées à l’été ! D’autant que, dans précisément un mois jour pour jour, nous célébrerons l’arrivée du printemps. J’ai tellement hâte ! En voyant le soleil et les températures de ce week-end, whaou, j’ai l’impression de commencer à me réveiller doucement d’une interminable hibernation… Pour m’éveiller à quoi, je ne le sais pas encore, mais ça viendra 🙂
Quoi qu’en soit le contexte, ce nouvel houmous aux pois cassés est vraiment excellent : frais, sain, on y revient sans faim ! Je l’ai préparé la veille pour le lendemain, et j’ai l’impression qu’il a davantage développé ses saveurs que le jour J. Si vous souhaitez faire pareil, n’oubliez pas de faire tremper vos pois cassés à J-2 !
Je me suis inspirée de la recette de Camille, sur son très joli blog Rosenoisettes.
J’aime cuisiner les lentilles. D’abord parce que j’adore les manger, ensuite parce qu’elles sont riches en protéines végétales (mais aussi en fibres, en antioxydants, en fer, en zinc, en magnesium…) et en parce qu’entre les différentes variétés vertes, blondes, noires ou corail il est impossible de nous ennuyer !
C’était justement l’idée de cette mêlée de courge, crucifère et lentilles : changer de mes habituelles lentilles aux saucisses, dahl, soupes, etc. Je me suis en partie inspirée d’une recette de Valérie Cupillard, dans sa bible Bio bon gourmand en profitant d’un reste de lentilles vertes déjà cuisinées (j’en avais fait plus exprès 😉
En cette fin d’année chaotique, il y a au moins UN truc qui roule : je ne suis pas (encore) en retard sur les cadeaux de Noël. Le plupart sont prêts, je viens de les emballer. Pour TOUT le reste, c’est la foire intégrale… Je suis en retard sur les publications du (presque) blog, je ne sais pas encore qui je vais réellement pouvoir inviter à Noël, je n’ai donc encore aucune idée de menu, je ne sais pas non plus si je vais parvenir à voir ma famille pour mon anniversaire (parce qu’une frontière nous sépare et que c’est la 2ème fois cette année qu’il nous est interdit de la franchir). Mais par-dessus le marché, c’est la débâcle dans mon travail. Ou dans ma tête, ou dans les deux. Depuis 12 ans que j’exerce le même emploi avec la même ardeur –une longévité assez rare pour être mentionnée !– le système est fait de telle façon qu’il est en train de me briser. Parce que lorsqu’une mule est efficace, on la charge. Toujours la même, et c’est normal. Mais lorsque cette bonne vieille mule arrive à bout de forces et demande une semaine de congé, on lui répond que c’est « irresponsable et non-professionnel ». Je vous épargne le reste. Je n’ai pas les mots pour exprimer la force de ma colère. Mais gageons que cette fin d’année chaotique nous donne l’élan de prendre un nouveau départ salutaire en 2021.
Vu l’humeur du moment, je trouve ces crackers complètement nuls, mais soit, je vais éviter de vous le dire 😉 Je les ai servi pour un apéritif de fin d’année (l’année dernière, avant ce capharnaüm généralisé) avec des verrines de potage potimarron-châtaigne-quatre-épices. Ils se prêtent aussi parfaitement à toutes sortes de tartinades festives. Et voilà qui me met du baume au cœur. Chercher des idées pour mon menu cette année, et la perspective de les partager avec vous. Prenez soin de vous, quoi qu’il arrive, car personne ne peut le faire à votre place ♥
J’ai piqué cette recette à la La Fée Stéphanie, une véritable fée en cuisine vegan.
Mon bœuf bourguignon à moi, c’est une tajine végétarienne.Quooâââ ?! Qu’est-ce qu’elle dit ?! Non, je ne déraille pas ! Je dis juste que les plats de viande si chers à notre culture culinaire m’ont toujours fait grimacer. Petite, j’avais la hantise des invitations à dîner. Que ce soit chez les parents d’une copine ou chez les amis de mes parents, j’avais cette crainte de tomber face à une blanquette de veau… Beurk ! Je ne renie rien des recettes traditionnelles qui font la réputation de mon pays −j’aime la cuisine française ! Je dis juste qu’au rayon des plats mijotés, mon kif à moi c’est des légumes fondants et juteux, des épices et d’autres condiments que le monde entier a à nous offrir.
Alors quand j’ai vu passer cette recette de tajine d’automne sur le blog Marmotte cuisine… veggie ! j’ai sauté dessus ! Des tajines, j’en fais souvent (rapport au fait que c’est mon bœuf bourguignon à moi). Mais je n’avais jamais songé à y mettre des pommes. En réalité, Marion y met des coings, mais moi j’ai plein de pommes… Bref, coings, pommes ou scoubidou, le sucré-salé est toujours ma tasse de thé. Clin d’œil aux amateurs du canard à l’orange 😉
Et tiens, en parlant cuisine traditionnelle, pruneaux, tout ça… Il y a un plat bien franchouillard que j’adore : le rôti de porc aux pruneaux ! Miam, et hop, j’ai le droit de garder mon passeport 😀