Depuis le temps que je le rabâche, vous avez dû comprendre que les épinards (et les blettes) ne sont pas ma tasse de thé 🙄 Pourtant il en pousse plein le jardin et mes 2 hommes adorent, donc je cherche toujours des façons sympas de les accommoder. Or plein d’épices, de la patate douce, des pois chiches et du lait de coco, c’est typiquement « sympa » pour moi.
Nous voici donc partis avec ce curry joliment coloré et super parfumé qu’on a tous les trois adoré ! Je l’ai accompagné de quinoa pour changer (et parce que j’aime ça) mais sentez-vous libre de le remplacer par du riz basmati ou autre.
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog Amandine Cooking.
Au départ, j’avais une bouteille de jus de cranberry ouverte et l’idée de faire un Cosmo… Malheureusement plus de Cointreau à la maison (encore une victime de mon anniversaire😅). Je ne me suis pas avouée vaincue pour autant ! Deux clics plus tard, j’ai trouvé cette idée de cocktail hyper simple, qui ne requiert aucun ingrédient farfelu et surtout, à base de rhum, un alcool que je suis incapable de boire seul, mais que j’apprécie beaucoup dans les cocktails.
Cet apéritif est excellent, j’ai vraiment adoré le côté sucré acidulé. Il se déguste comme un bonbon, mais se consomme avec modération 😉
Ces derniers jours ont été particulièrement mouvementés chez nous… Notre Mini-biscuit vient de passer une semaine en quarantaine après que la quasi totalité de ses copains de crèche et de ses éducateurs n’aient été contaminés par cette saleté de Covid. Assez miraculeusement, Mini-biscuit est resté en pleine forme et ses tests sont restés négatifs ! Je ne peux m’empêcher de penser qu’une bonne hygiène alimentaire à base de produits frais et variés, qu’une bonne dose de savon sur les mains à frotter dans la joie et la bonne humeur, et surtout qu’une chance considérable nous ont épargnés. C’est pour nous un retour à la normale aujourd’hui et je trouve donc quelques minutes pour vous partager ce bon plat de pâtes.
Nom-de-code-chéri trouve qu’il n’y a pas assez de pâtes sur le (presque) blog, vous trouvez aussi ? J’ai donc sauté sur l’occasion des épinards qui poussent au jardin pour essayer ces conchiglioni ramenés d’un voyage en Sicile. Ils prenaient pas mal de place dans ma valise retour, surtout que je ramenais bien d’autres choses, mais ça valait le coup car on s’est vraiment tous régalés !
Après une semaine quasi estivale, nous revoilà à braver les tempêtes de neige ! Si, si, je vous assure : même s’ils ne tiennent pas au sol, les flocons tourbillonnent ici avec furie ! Cette joyeuse salade à dominante verte célèbre pourtant l’arrivée du printemps… Ironie ou anachronisme, peu importe car on s’est vraiment régalés ! La base d’orge est super rassasiante, nos 1ers petits pois de l’année nous ont fait grand plaisir (je les ai pris surgelés), et la feta, le jus de citron et la menthe donnent un bon pep’s à cette assiette toute verte. D’ailleurs en parlant de salade, je vous avais promis de vous montrer du pourpier en fleur donc le voilà en touche déco ! Si ça vous intéresse, les feuilles avant floraison sont à voir ici 😉
Du printanier, du vert, du frais, c’est justement le thème du 73ème Foodista Challenge organisé par Muriel du blog Petites marmites et compagnie. L’intitulé exact est « Une recette verte pour fêter le printemps ! » J’espère avoir fait honneur 😉
Petite minute céréale : l’orge perlé est sans le son, sa cuisson est plus rapide que l’orge mondé, complet, qui nécessite également un temps de trempage. Vous pouvez, si vous préférez, le remplacer par du boulgour par exemple.
Tout le monde dehors !!! Oh oui, ces 1ers jours de printemps prennent une allure estivale pour mon plus grand plaisir ! Le changement d’heure et le retour du soleil me mettent en joie ! Vous aussi, vous avez cette impression de respirer à nouveau ?
Pour autant, je vous propose un petit retour dans le registre hivernal avec ce plat très réconfortant, onctueux, riche en saveurs et en protéines végétales ! Si comme moi vous adorez les champignons de les lentilles, foncez ! J’ai beau n’être pas mega fan des épinards (Nom-de-code-chéri en raffole), en petite touche dans cette poêlée, ça passe crème ! Vous relèverez le jeu de mots tout en finesse 😄
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog Little Red Boots, et comme Szandra, j’ai accompagné cette jolie poêlée crémeuse de boulgour !
Aaaah le brocoli et moi, c’est une grande histoire d’amitié 🥰 Je le cuisine régulièrement sous plein de formes, mais n’avais encore jamais pensé à en faire un tajine… Ça m’a traversé l’esprit ces derniers jours et bam ! Même s’il est un peu tôt dans la saison, c’était le légume le moins cher de mon étal, alors j’ai craqué. Non mais sérieusement, marre des poireaux !!! Maintenant que le printemps est là et que le soleil brille, je suis trop impatiente de mettre des épinards et des asperges dans mon assiette. En les attendant (de pied ferme), je prends quelques libertés.
Pour ce tajine (qui n’a rien de traditionnel, on est d’accord), je me suis inspirée de mes recettes habituelles, c’est à dire des épices douces, une touche de miel, mais plutôt que les fruits secs que je mets souvent (pruneaux, raisins secs, abricots secs…) j’ai eu envie de plus de soleil ! Décidément. Les tomates séchées et les olives ont donc fait leur entrée dans ma cocotte. Et pour changer de la graine de couscous, je l’ai servi avec du boulgour, mais faites comme vous aimez !
C’est aujourd’hui le printemps ! Youpiii ! D’autant que le soleil nous a honoré de sa présence toute la journée –même s’il neigeait encore hier, trop bizarre. Ce velouté, c’est justement la recette joker qui fonctionne par tous les temps. La vraie bonne recette du placard à base de 2 bocaux ou conserves : du maïs et du lait de coco.
Le combo des 2 est un vrai délice sucré-salé. Surtout sucré d’ailleurs. Mais ne vous y trompez pas, ce potage est très nourrissant. Du coup 1 bol chacun c’était presque trop… C’est une bonne idée à garder pour en faire de belles petites verrines apéro, quand on pourra recevoir les copains à nouveau 🙂
Pour cette recette, je me suis inspirée du blog Meg & cook de Mégane.
Même si j’adore les galettes en tout genre, j’en prépare assez peu. C’est un peu de chipotage pour les façonner (la patience n’est pas ma plus grande vertu) et 1x sur 2, je les casse en les retournant dans la poêle (en plus d’être déjà moches avant d’être retournées et cassées). Si, si, voyez mes paillassons aux carottes et poivron rouge : excellents, mais moches (j’ai modestement caché la misère avec des feuilles de basilic). Sauf que voilà, RÉVOLUTION ! Ces galettes-là cuisent au four ! Moins grasses, moins moches, moins cassées et… le bonheur fondant de la patate douce (sans crise de nerf) : alléluia !
La patate douce en ce moment c’est ma grande copine. Sa chair orangée est délicieusement sucrée, son index glycémique est pourtant plus bas que celui de la pomme de terre. Elle est en plus au top sur la vitamine A, qui profite à la croissance de Mini-biscuit, à ma vision de taupe et à ma peau… L’huile de foie de morue regorge aussi de vitamine A, mais voilà quoi.
Comme vous le voyez, on a dégusté ces jolies galettes dorées avec une salade. Si vous êtes motivés, elles feraient également un bel accompagnement. Les adorables petites feuilles que vous voyez-là, c’est du pourpier d’hiver, aussi appelé claytone de cuba. Les feuilles fleurissent au printemps, c’est encore plus mignon, je vous montrerai ça ! Pour cette recette, j’ai puisé l’inspiration chez ma copine Marie du blog Not Parisienne.
Vite, vite ! Je profite de ce nouvel épisode hivernal pour vous partager mes (dernières) recettes bien chaudes et revigorantes. Ici les températures ont complètement replongé, on se lève chaque matin dans le brouillard, et accrochez-vous, quelques fins flocons sont même tombés hier. Alors s’il est encore un moment de parler munster, pour se ragaillardir à 10 jours du printemps, c’est maintenant !
À la maison, on adore tous les trois le poireau. On adore aussi le fromage, TOUS les fromages. Or le poireau compte parmi ces légumes merveilleux qui se marient parfaitement avec TOUS les fromages. Bref, vous voyez comment tout ça a pu atterrir dans mon plat ! Et comme, c’est bien connu, le munster et le cumin font très bon ménage, me voici à vous présenter cette tarte odorante et délicieuse.
Savez-vous planter les choux, à la mode, à la mode… ♬ Personnellement non ! Les plantations c’est le domaine de Nom-de-code-chéri (aka le meilleur jardinier du moôonde), mais les cuisiner, c’est mon plaisir à moi ! A force de voir passer sur internet toutes sortes d' »ailes de poulets » vegan à base de chou-fleur ou de bouchées tater tots au chou-fleur, j’avais très envie d’en faire des boulettes à ma façon. Je les ai accompagnées de 3 sauces, histoire de satisfaire tout le monde et de varier les plaisirs : du ketchup pour Mini-biscuit, de la sauce barbecue et une petite sauce maison à base de yaourt dont je vous mets le détail ci-dessous.
Petit avertissement : si vous aimez moyennement le chou-fleur, ou si vous espérez pouvoir en faire manger aux enfants sous cette forme ludique, pas sûre que ça fonctionne. La cuisson à la vapeur accentue le goût qu’on aime (ou pas) du chou-fleur. Nous, on s’est tous les 3 régalés, mais si vous n’êtes pas sûr·e que tout le monde adhère chez vous, remplacez le paprika fumé par du curry, il couvrira davantage 😉