Après mes 1ères galettes de patates douces réalisées il y a quelques mois, je vous reviens avec une nouvelle version améliorée, encore meilleure !
Les 1ères étaient au curry, elles sont ici au cumin, mais ça c’est comme on veut. La différence, c’est surtout que la patate était râpée et qu’ici elle est précuite à la vapeur. Résultat : une cuisson beaucoup plus harmonieuse pour une galette crousti-moelleuse à souhait ! On s’en est régalé avec une bonne salade verte 🙂
Pour ces galettes, je me suis inspirée de la recette trouvée sur le blog Du bio dans mon bento.
Voilà une tarte qui change du tout au tout ! Pourquoi ? Parce que la pâte est remplacée par un fond de rondelles de pommes de terre, ce qui en fait un plat super complet et super riche en légumesss. Des légumes qui font honneur à l’automne : du potimarron, des champignons et des épinards, complétés par de la tome de brebis, un peu de muscade, et ce fond vraiment fondant de pommes de terre, mmh.
On s’est tous les trois régalés d’une belle part à la fois consistante et digeste. Une fois de plus, je suis heureuse d’avoir pu exploiter les légumes du potager ! Seuls les champignons n’ont pas poussé chez nous. Nom-de-code-chéri n’a pas encore de champignonnière, mais chut, ça pourrait lui donner des idées 😅
J’ai piqué l’idée du fond de tarte en pommes de terre au magazine Esprit Veggie n°16 du printemps 2021. Mais leur garniture était différente !
Elles ne sont pas photogéniques, elles sont luisantes parce que, disons-le clairement, elles sont un peu grasses 🤭 mais elles sont bonnes ! Ces galettes « paillassons » illustrent parfaitement la transition entre les saisons. Il s’y mêle les dernières courgettes de l’année, et les carottes-pommes de terre qui vont nous tenir tout l’hiver ! En plus, je ne suis pas peu fière de dire qu’elles sont 100 % potager maison, même l’oignon !
En bonne lorraine que je suis, je les ai mangé avec un peu de sauce Maggi 😛
Pour cette recette, je me suis vaguement inspirée de celle-ci.
Même si j’adore les galettes en tout genre, j’en prépare assez peu. C’est un peu de chipotage pour les façonner (la patience n’est pas ma plus grande vertu) et 1x sur 2, je les casse en les retournant dans la poêle (en plus d’être déjà moches avant d’être retournées et cassées). Si, si, voyez mes paillassons aux carottes et poivron rouge : excellents, mais moches (j’ai modestement caché la misère avec des feuilles de basilic). Sauf que voilà, RÉVOLUTION ! Ces galettes-là cuisent au four ! Moins grasses, moins moches, moins cassées et… le bonheur fondant de la patate douce (sans crise de nerf) : alléluia !
La patate douce en ce moment c’est ma grande copine. Sa chair orangée est délicieusement sucrée, son index glycémique est pourtant plus bas que celui de la pomme de terre. Elle est en plus au top sur la vitamine A, qui profite à la croissance de Mini-biscuit, à ma vision de taupe et à ma peau… L’huile de foie de morue regorge aussi de vitamine A, mais voilà quoi.
Comme vous le voyez, on a dégusté ces jolies galettes dorées avec une salade. Si vous êtes motivés, elles feraient également un bel accompagnement. Les adorables petites feuilles que vous voyez-là, c’est du pourpier d’hiver, aussi appelé claytone de cuba. Les feuilles fleurissent au printemps, c’est encore plus mignon, je vous montrerai ça ! Pour cette recette, j’ai puisé l’inspiration chez ma copine Marie du blog Not Parisienne.
J’ai eu la chance de connaître mes 4 grands-parents et 2 de mes arrière-grands-parents. En cuisinant ce plat, j’ai pensé qu’aucun d’entre eux n’a jamais du goûter, ni même voir une patate douce de sa vie ! Ma grand-mère maternelle aurait eu 100 ans aujourd’hui. Une fine cuisinière, qui a toujours su préparer des festins avec 3 fois rien, du moins avec ce qu’elle avait sous la main. Ils étaient 6 à table, puis sont venus les gendres, puis sont venus les petits-enfants… Elle a toujours eu à cœur de régaler tout le monde (même les plus difficiles, dont je faisais partie).
Je pense qu’elle aurait aimé ces patates douces, qu’elle les aurait peut-être trouvées exotiques… Nous en tout cas, on a tous les trois A-DO-RÉ. J’imaginais qu’il resterait un tupp’ mais on a tout dévoré ! La farce est super onctueuse et vraiment savoureuse. Le goût de la patate douce est décuplé par la longue cuisson au four, on y retrouve parfaitement les champignons et la muscade. J’ai volontairement mis très peu de fromage pour qu’il ne prenne pas le pas sur le reste et j’ai bien fait !
Avec Nom-de-code-chéri, on s’est dit que ça ferait un chouette accompagnement de fête, pourquoi pas en le pimpant avec du quatre épices 😉 Pour cette recette, je me suis inspirée de celle de Sophie sur son joli blog La Tendresse en Cuisine.
La semaine passée, nous nous sommes offerts une semaine de vacances dans les Vosges. Et bien que la météo n’ait pas été tous les jours au rendez-vous, on a pris beaucoup de plaisir à changer d’air, se balader, admirer les paysages entre montagnes, cascades et lacs, et Mini-biscuit a eu beaucoup de plaisir à faire de la luge à gogo (quoi que je ne sais pas lequel de Mini-biscuit ou de Nom-de-code-chéri se marrait le plus sur la luge ^^) On a bien sûr profité de notre séjour là-bas pour faire quelques emplettes, notamment à la ferme bio de Bonnefontaine au Tholy, d’où nous avons ramené une quantité astronomique de succulents fromages, dont ce délicieux Munster Géromé.
« Géromé » ça veut dire quoi ? C’est une appellation d’origine protégée qui distingue la provenance géographique du fromage. A l’origine, le Munster est produit dans la petite ville du même nom, sur le versant alsacien des Vosges. Au fil des siècles, les fermiers investissent le versant lorrain des Vosges où ils fabriquent le Géromé, en référence à la ville de Gérardmer (dont les habitants sont les Gérômois). Dans les 2 cas, le Munster est un délicieux fromage à pâte molle et à croûte lavée, au lait de vaches des montagnes vosgiennes ! Le nôtre est jeune, il n’a embaumé ni la voiture, ni le frigo, mais s’est avéré délectable dans cet excellent gratin de légumes d’hiver.
Je me suis en partie inspirée de la recette du blog Artichaut et cerise noire, bien que vous verrez que ça n’a plus grand chose à voir 🙂
Dès que Mini-biscuit a commencé à parler, certains mots ont retenu toute sont attention –oserais-je parler de coups de cœur littéraires ?! Il les répétait, guettait nos réactions… Et « patate douce » fait partie de ceux-là. Aaaah « patate douce », il veut maintenant que je lui chante « patate douce » le soir. Vous connaissez la chanson « patate douce » vous ? Moi non plus, mais j’improvise sur l’air de Petit Papa Noël, du grand art ! #pleinederessources
Donc voilà, ça fait une petite éternité que je voulais faire des gaufres de légumes, et je m’y colle enfin, avec des… patates douces. Tiens, tiens. Sans surprise, Mini-biscuit s’est régalé (Nom-de-code-chéri aussi) mais moi, je crois que j’aurais aimé les rehausser un peu, peut-être avec un guacamole ou des chips de lard. Ah oui, on est végé ! Mais vous, n’hésitez pas à y coller un p’tit quelque chose en plus 😉
C’est aujourd’hui férié en France et en Belgique, et même si ce n’est pas le cas ici au Luxembourg, je sais à quel point on aime se simplifier la vie un jour férié. Surtout lorsque le brouillard ne se lève pas de la journée… satané novembre ! Alors voici une idée d’accompagnement toute simple et toute douce qui vient à vous. Le plus long, c’est la corvée d’épluchage !
Vous me croyez si je vous dis que j’en ai léché mon assiette ? Eh bien si, pour ne pas perdre 1 seule goutte de cette délicieuse crème parfumée au brie, au thym, au miel… Si ma saison préférée s’est carapatée du jour au lendemain, ça me fait chaud au cœur de retrouver ce genre de gratins bien gras bien réconfortants.
J’ai trouvé cette recette sur le blog Marmotte cuisine… veggie ! Une belle découverte. Les patates sont absolument fondantes et comme je vous le disais, très parfumées. Un régal.
La recette originale était au romarin, ça doit être excellent, mais n’en ayant pas, je me suis rabattue sur mon thym, tout aussi excellent.
À la recherche d’un plat de Noël qui soit réellement festif, tout en étant végétarien, je suis tombée sur cette recette vraiment attirante du blog Green Cuisine.
La présentation en cercles individuels est vraiment classy et le parmentier délicieux : une douce purée pomme de terre-céleri, sur un haché vraiment convaincant aux saveurs de Fêtes. Nom-de-code-chéri et moi-même nous sommes régalés.
Dans sa recette originale, Britt utilise des protéines de soja texturées (PST), auquel nous avons préféré du seitan (protéine de blé) haché au couteau par nos soins.