Vous savez mon amour pour la cuisine libanaise, les pois chiches et le tahini… Non ? Souvenez-vous de ce curry de potimarron et pois chiches, ou de ce curry de chou-fleur et pois chiches, de cette trempette sésame-citron et de cette sauce tahini-soja ! Voyez ?!
Les falafels et moi, c’est donc naturellement une grande histoire d’amour… Mais imaginaire ! Car bien que souhaitant en faire depuis longtemps, et bien qu’ayant déjà épinglé des dizaines de recettes, c’est ici la 1ère fois que je me lance. Une autre 1ère : l’épluchage de pois chiches ! Cette étape que je jugeais fastidieuse et plutôt superflue rendrait les pois chiches plus digestes. La vue du monticule de peaux vides et échouées telles des mues de serpents m’a convaincue. Et même si c’est un peu long, ce n’est vraiment pas compliqué.
Ces belles petites croquettes dorées sont habituellement frites. Bien, mais la friture et moi… Lorsqu’une alternative diététique semble avoir fait ses preuves (et je le confirme ici) je préfère, hein. Je me suis donc librement inspirée de cette recette d’Anne & Alex. J’ai lu plusieurs fois qu’il était préférable d’employer des pois chiches secs, que l’humidité serait l’ennemi de la falafel et aurait tendance à la désagréger. J’ai utilisé une conserve, j’ai bien essuyé les pois après leur épluchage, et tout s’est très bien tenu 😉