Après le bowl cake (ma version banane-cannelle ici), le veggie bowl est la nouvelle star de Pinterest et des tables healthy. Aussi appelé « buddha bowl » (obscure rapport avec la grassouillette divinité expliqué ici), il compile plein de petits délices végétaux, joliment mis en scène dans un bol ou un saladier.
La bonne vieille salade composée n’a qu’à bien se tenir ! Cet assortiment multicolore de légumes crus et cuits, de céréales, de légumineuses et même de fruits constitue un repas complet, sain et terriblement appétissant ! Si appétissant et si bon que suis heureuse d’avoir cédé à la tendance, dans une assiette creuse 😉
AVERTISSEMENT
Cette recette est extrêmement addictive et tellement simple à réaliser que vous ne pourrez plus vous en passer ! La suite à vos risques et périls…
(Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas prévenus !)
Simplicité et gourmandise, c’est le thème du 10ème « Passe-plats entre amis » soufflé par Claudine du blog La cuisine de Gut. Elle nous invitait à réaliser une recette « chrono trop gourmande », à la fois rapide à faire et ultra bonne. Je crois que là, je suis à 200 % sur les 2 tableaux 😉
Sur l’échelle du plaisir, cette crème glacée se range au niveau de la pâte à tartiner à la cuillère, alors que son indice de culpabilité reste, lui, (presque) aux pâquerettes 😀 Si ce n’est pas vraiment light, c’est clairement sain et 100% naturel. En plus, 2 ingrédients et 2 secondes de préparation (on va pas chipoter), c’est trop facile !
Voilà que Monsieur Woody, la cuillère en bois moustachue dont je vous parlais déjà avec mes panna cotta aux olives, lance un nouveau défi aux blogueurs ! Cette cuillère (plus rien ne m’étonne) et son complice Olivier, du blog Sharing Cuisine, ont créé le jeu Régalades en cascade. L’idée ? Poster une recette axée sur l’un des 2 ingrédients imposés, puis désigner 5 amis blogueurs qui plancheront le mois suivant sur d’autres ingrédients de saison.
Merci à Sandrine, du blog Tranche de Régalade qui m’a passé le relai. Des 2 thèmes au choix, j’ai opté pour « Monsieur patate se prend pour Monsieur Woody », bien qu’étant du pays des mirabelles (avec mes sabots) l’autre thème « Les blondes ne comptent pas pour des prunes » me collait davantage. Mais justement ! Des pommes de terre je n’en mange pas souvent, c’était la parfaite occasion d’essayer les gnocchis que je convoitais depuis longtemps ! Si la texture était à la hauteur de mes attentes, je regrette de ne pas avoir goûté un gnocchi nature. La sauce coco et le gingembre ont dominé le goût de la patate douce, que je n’ai pas retrouvé. Idem pour la farine de châtaigne, qui n’est pourtant pas du genre à s’effacer.
S., la collègue qui avait déjà eu la gentillesse de me faire profiter du potiron géant de son potager l’hiver dernier, vient de récidiver en m’apportant 2 magnifiques courgettes et des branches buissons d’estragon.
En voulant faire honneur à ces beaux produits frais, cultivés avec amour, j’ai associé pour la 1ère fois la courgette et l’estragon. Je n’y aurais pas forcément pensé et pourtant, ça fonctionne à merveille ! Cette quiche sans pâte est savoureuse et parfumée, elle se déguste aussi bien chaude, tiède que froide, en repas avec une salade verte ou coupée en cubes pour l’apéro. Je suis allée chercher un peu d’inspiration sur les blogs J’en reprendrais bien un bout et Rachel et sa cuisine légère et gourmande, mais comme souvent, je n’en ai fait qu’à ma tête 😉
Après mes panna cotta aux fruits rouges, qui me régalent fidèlement depuis 5 ans, je viens seulement de tenter cette variation au chocolat, tout aussi sensationnelle et simple.
Bien qu’étant une incorrigible choco-addict, j’imaginais jusque-là qu’une panna cotta au chocolat (comme au caramel d’ailleurs, bref, une panna cotta sans fruit) serait lourde et pâteuse… Grave erreur ! C’est une TUE-RIE 😀 Seul bémol, toujours le même : il ne faut pas d’envie pressante. Les panna cotta se préparent la veille pour le lendemain, ou du moins quelques heures à l’avance, mais croyez-moi, on les apprécie d’autant 😉
Je vous présente l’un de mes classiques en cuisine ! Parce que j’adore la graine de couscous et les légumes, et parce que cette semoule colorée se déguste aussi bien seule qu’en accompagnement de… Tout !
Chaude, tiède ou froide, tous les légumes peuvent y passer au gré des envies et des saisons : courgettes, fenouil, carottes, petits pois, brocoli, courges… Ainsi que quelques options comme des raisins secs, des amandes effilées ou des pignons grillés, des épices et aromates, de la sauce soja… Laissez parler votre imagination et votre garde manger 😉
Un Liebster Award, je l’explique très bien ici, c’est une petite distinction qui permet d’identifier les nouveaux venus dans la blogosphère et d’en apprendre un peu plus sur eux. Pour se faire, il suffit de :
– Répondre aux 11 questions du blogueur qui nous nomine, ici Laura
– Dévoiler 11 choses supplémentaires sur nous
– Taguer 11 jeunes blogueurs et leur poser 11 nouvelles questions
– Mettre des liens vers leurs blogs
– Les informer de leur nomination
– Confirmer notre bonne participation au blogueur qui nous nomine
Ayant déjà participé début d’année, vous me permettrez de faire l’impasse sur certaines étapes. En revanche, pour la remercier de son geste et ne pas la laisser sans nouvelles (j’ai déjà assez tardé !!!) voici mes réponses aux questions de Laura. Pour vous, c’est une nouvelle fois l’occasion d’en apprendre un peu plus sur votre (presque) blogueuse 😉
De quoi parle-t-on exactement ? Mais oui, de notre bonne vielle tomate mozza ! LA salade qui a déjà sauvé au moins l’une de vos soirées d’été improvisées ! Je ne sais pas vous, mais je n’arrive pas à m’en lasser, surtout depuis qu’une vague de tomates multicolores lui redonne des couleurs.
Je vous présente ici ma version maison. J’aime ajouter des câpres, des olives et pour les grandes occasions quelques pignons dorés. Le vinaigre balsamique, c’est au goût de chacun, voire même selon l’humeur. Notez qu’un balsamique blanc ne « tâchera » pas la mozzarella 😉
Pour choisir vos tomates, le Club des fous de tomates (ça ne s’invente pas !) donne quelques conseils avisés comme : éviter les grosses tomates bien rondes, lisses et régulières (c’est beau, mais c’est tout) ; les choisir légèrement molles et que le pédoncule se retire facilement pour les déguster de suite ou bien en chair avec une peau pas trop fine pour les garder quelques jours. Et attention, elles se conservent à température ambiante, pas au frigo !
Je vous présente LE dessert super fastoche, qui fait toujours son petit effet. Les panna cotta se préparent en 2 coups de cuiller à pot, idéalement la veille pour le lendemain (ce qui vous débarrasse en plus de la case dessert le jour J). Depuis 2011, je suis fidèlement les proportions de cette recette. En hiver, j’écrase grossièrement des framboises surgelées (mais décongelées !) à la fourchette, alors qu’en été, je profite bien sûr des fruits rouges et frais 😉
J’en profite pour vous confier mon secret de conservation des gousses de vanille… Je les congèle ! Bien collées serrées, entortillées dans un sachet hermétique duquel je fais soigneusement le vide d’air. J’ai eu la chance de ramener de la vanille délicieusement parfumée de l’île Maurice, que je me suis procurée directement dans la plantation. Quel plaisir de les exhumer 1 à 1 au fil des mois… À chaque fois je m’envole pour quelques secondes dans l’hémisphère sud. Pour vous y envoyer vous aussi, je vous colle au-dessous 2 photos, c’est cadeau 😀
Ça fait un bail que je voulais faire des steaks végétariens maison. Il en existe de toutes sortes qui n’ont généralement rien à envier aux « vrais » ! C’est justement parce qu’ils mettent tout le monde d’accord qu’ils m’ont semblés tout indiqués pour satisfaire végé et viandards à ma table 🙂
Verdict ? Tout le monde s’est effectivement régalé, à tel point que nom-de-code-chéri en aurait bien englouti un 2nd ! Chacun y est allé de son commentaire, que je vous livre ici afin d’ajuster votre garniture : ajouter une rondelle d’oignon rouge, de la moutarde ou plus de sauce. Il est vrai que le steak d’haricots est légèrement plus sec que son cousin carné, alors la double dose de sauce (du fromage blanc ça reste light !) est bienvenue, et donc pourquoi pas la prochaine fois préparer une 2ème sauce fromage blanc + moutarde pour l’une des faces intérieures du bun ?
Pour mettre au point ma recette, je me suis inspirée de ces burgers de veau à l’indienne dont je raffole (mais franchement, comme si on mangeait du veau en Inde !!?#@§%) et de plusieurs steaks aux haricots rouges trouvés sur Marmiton, Elle et le blog d’Anna et Olivia.
Alors oui, je n’ai pas fait mes buns maison… J’entends d’ici les « houuu ». Ils sont eux aussi sur ma (longue) to-do list, ça viendra 😉