La carotte est un légume aux mille facettes : cru ou cuit, salé ou sucré… C’est un véritable caméléon en cuisine ! Je n’avais pourtant jamais pensé à en faire une tarte salée… Cette idée super originale revient à Britt, du blog Green Cuisine. J’ai découvert son blog en recherchant de chouettes idées végétariennes pour Noël (je vous réserve quelques surprises pour Noël 2019 !) et j’ai été conquise par ses recettes ultra appétissantes.
Pour réaliser cette tarte, je me suis amusée à utiliser des carottes de 3 couleurs : oranges naturellement, mais aussi jaunes et violettes. Ce qui honnêtement, ne paraît pas vraiment à l’œil. Mais en bouche, mmh… Cette tarte est fondante, la coco dosée comme il faut, on a beaucoup aimé 🙂
J’espère que vous avez passé de très belles fêtes et que vous avez profité de la magie de fin d’année ! Nom-de-code-chéri, Mini-biscuit et moi-même avons célébré en famille, comme toujours entre nos 3 pays. De tous ces déplacements, nous sommes rentrés les bras chargés de cadeaux, certes, mais aussi de courges du jardin, car les mamies jardinières sont toujours aussi prolifiques 🙂
Pour préparer ces petites butternut de façon un peu différente et originale, j’ai craqué sur cette recette de gratin du blog Chez Becky et Liz. Ce blog français est totalement dédié à la cuisine britannique et propose même des conseils pour voyager au Royaume-Uni. Au final, je ne sais pas ce que ce gratin a de particulièrement British, mais QU’IL EST BON !!! Je suis très heureuse de débuter l’année avec une recette aussi exquise et j’espère qu’elle augure une année délicieuse. Il est d’ailleurs grand temps pour moi de vous souhaiter…
une merveilleuse année 2019, une excellente santé, du bonheur et beaucoup de bons petits plats à partager avec ceux que vous aimez ♥
Dans sa recette, Hélène (française mariée à un anglais) utilise évidemment du cheddar, je l’ai remplacé par du Comté. Mais surtout, sa recette comportait à l’origine de la la moutarde à l’ancienne, mais étourdie que je suis, j’ai tout bonnement oublié de l’ajouter !!! Le gratin s’est avéré vraiment parfait sans, très fin et ultra parfumé avec la sauge. Mais je le referai avec la moutarde pour goûter la différence et vous dirai… En attendant, faites comme ça vous chante 😉
Pour planter le décor : Nom-de-code-chéri et moi-même sommes grands consommateurs de pâte à tartiner. Or, même en choisissant de bonnes pâtes à tartiner bio, c’est-à-dire celles affichant la plus haute proportion possible de noisettes, elles contiennent encore beaucoup trop de sucres et de matières grasses. Dans certains produits, les noisettes et le cacao ne comptent QUE pour 15 % des ingrédients… beurk.
J’ai pourtant longtemps tergiversé avant de réellement décider d’arrêter tout achat, pour ne réaliser que ma propre production maison. Les recettes que je voyais passer demandaient souvent de torréfier ses noisettes puis de les mixer. Ce doit être délicieux, mais je n’ai ni le temps, ni le mixer adéquat. Et puis l’idée qu’un jour prochain, mon Mini-biscuit voudrait lui aussi goûter à nos tartines brunes m’a décidée. Je me suis lancée dans quelques tests pour mettre au point une pâte à tartiner qui soit à la fois bonne, facile à tartiner et rapide à préparer. Bingo ! Elle remplit ces 3 critères et surtout : je sais EXACTEMENT ce qu’il y a dedans 😉
Depuis la publication de cette recette, j’ai découvert et publié cette autre pâte à tartiner choco-noisette qui a aujourd’hui notre préférence à la maison 😉
Saviez-vous que les champignons, en plus d’être très bons, sont une très bonne source de protéines végétales ? Top dans le cadre d’un régime végétarien. Pourtant, je trouve qu’on les prépare trop souvent avec de la crème ou de la béchamel… Des LITRES de crème ou de béchamel ! De temps en temps, c’est excellent (visez un peu mon mac’ and cheese aux champignons) mais pas toujours diététique… Alors lorsque Marie, du blog Not parisienne a publié sa recette de sauce aux champignons, j’ai bondi sur l’occasion ! Du bouillon, de la « crème » de soja et un peu de Maïzena pour lier, il fallait que j’essaye. C’est chose faite, sur des spätzle, parce qu’ils s’y prêtent merveilleusement et sont bien de chez moi 😉
Au final, cette sauce est effectivement plus light qu’à base de crème fraîche mais tout aussi liée. Comme on ne lésine pas sur la quantité de bouillon (contrairement à la quantité de crème), elle est disponible à profusion et très parfumée !
Si vous ne connaissez pas encore le blog Not parisienne, allez vite y faire un tour. Car Marie (qui n’est donc pas parisienne mais Ch’ti) est bien la seule blogueuse que je connaisse qui nous fasse autant voyager. Que vous cherchiez une recette roumaine, équatorienne ou nigérienne, vous la trouverez dans sa cuisine colorée et généreuse !
Si l’immense majorité des gourmands connait les brownies, peu connaissent sa petite sœur, les blondies. Les 2 gâteaux nous viennent tout droit d’outre-Atlantique et se servent en parts carrées, à la différence que le « brown » (ou brun) tient sa couleur du chocolat, tandis que le « blond » doit sa couleur au sucre roux.
On trouve sur internet plusieurs écoles en matière de blondies… Comme d’habitude, les recettes vivent et se transforment au fil des habitudes et des préférences de chacun. On en trouve au chocolat blanc ou avec des pépites de chocolat noir, avec des noix, des noix de pécan ou de macadamia, et le plus souvent avec une touche de vanille. Pour mettre au point ma recette, je me suis en partie inspirée de celle d’Anne-Sophie, du joli blog Fashion Cooking. Je l’ai voulue raisonnablement sucrée, car le chocolat blanc apporte déjà une bonne dose de douceur.
Je ne sais pas vous, mais moi je reçois approximativement 500 newsletters Pinterest par jour. Certaines portant sur des sujets improbables (« torchon de cuisine », sérieusement ??!) que j’élimine sans même les ouvrir, d’autres que j’ai plaisir à faire défiler. C’est dans une newsletter de la 2nde espèce que je suis tombée sur cette alléchante recette de potimarron rôti. Elle est tirée du blog Foodies & Family, son auteur Marine y met beaucoup d’humour, c’est un plaisir à lire ! J’avais justement un petit potiron tout mignon à la maison, et me suis dit qu’à défaut de potimarron, il donnerait parfaitement le change.
Comme toujours avec les courges, le plus long, c’est de les préparer : on se casse le bras (ou la table) à les ouvrir, on perd 2 doigts (ou un couteau) en les pelant… Parce que oui, paraît que le potimarron ne s’épluche pas, mais on parle ici de potiron ! Bref, mettez si possible un homme à contribution, car une fois cette délicate étape passée, la préparation est ensuite très rapide. À peine enfourné, votre plat dégagera une délicieuse odeur… Ces tranches de potiron rôties sont délicatement parfumées et absolument fondantes. Accompagnées d’un peu de quinoa et d’une petite salade, elles forment un très bon repas automnal.
Que tout le monde se rassure ! Mac’ and cheese, c’est l’abréviation de macaroni and cheese, rien à voir donc avec un certain M jaune sur fond vert… Il semblerait que ce soit LE plat de référence des petits américains, au même titre qu’un fidèle jambon-coquillettes en France.
Pour y goûter, je me suis inspirée de la recette du très british Jamie Oliver (d’où la très british Worcestershire sauce). J’apprécie sa simplicité, et ses plats sont généralement très savoureux. Mon impression se confirme une nouvelle fois ici. Ce mac’ and cheese est onctueux, parfumé et très réconfortant, surtout par une journée gris souris. Dans sa recette, Jamie utilise des tomates et du cheddar, mais question de saison et de culture, je les ai remplacé par des champignons (qui se fondent à merveille dans une béchamel) et du pecorino.
Comme le dit très bien Jamie, le mac’ and cheese ne remporte clairement pas la palme nutritionnelle… Mais accompagnez-le d’une belle feuille de salade et vous culpabiliserez déjà moins 😉
Cette recette, je la tiens du livre « La cuisine de Julie » qui doit être l’un de mes 1ers livres de cuisine. Voyez comme Julie est jeune sur la couverture (pas qu’elle soit vieille maintenant, je la trouve toujours aussi pimpante !) c’est dire le temps depuis lequel j’éprouve ce fidèle rôti de porc aux pruneaux sur un tas de grandes tablées !
Moi qui cuisine habituellement très peu de viande, ce plat figure parmi mes classiques quand je reçois du monde. Pourquoi ? D’abord parce qu’il est excellent ! Accompagné de spätzles poêlés ou d’une purée de pommes de terre maison (dans lesquels la sauce fait merveille) ce plat chaleureux rencontre toujours un franc succès. Ensuite parce que question pratique, on fait rarement plus commode… La cocotte peut s’oublier sur le feu ralenti toute la matinée, ou encore mieux, on la prépare la veille. Le rôti réchauffé le lendemain est encore meilleur, la sauce encore plus sirupeuse et parfumée.
Après le gâteau dinosaure « Diplodocake » mis au point pour le 1er anniversaire de Mini-biscuit, je vous repropose la même recette de gâteau au chocolat, dans un format beaucoup plus classique. Parce qu’il serait trop dommage de passer à côté de cet excellent gâteau, sous prétexte que la forme dinosaure n’est pas pour vous !
Son secret ? Les blancs d’œufs sont battus en neige ! Résultat, un fondant généreux mais néanmoins aéré, et un gâteau bien monté, sans un gramme de levure ou de bicarbonate. Quant à son glaçage au chocolat, haaa, c’est l’arme fatale à laquelle aucun gourmand ne peut résister !
Depuis les décennies qu’on fait ce gâteau au chocolat dans ma famille, on a toujours doublé les proportions, ici dans un moule de 26,5 cm de diamètre. La recette originale, publiée dans un Madame Figaro, probablement des 90’s, indiquait la moitié des ingrédients pour un moule à manqué de 20 cm de diamètre.
Notre Mini-biscuit vient de fêter son 1er anniversaire. Déjà 1 an qu’on se découvre, qu’on se câline et qu’on grandit ensemble. Quelle grande occasion à célébrer ! Il fallait impérativement que son 1er gâteau d’anniversaire soit à la hauteur de l’événement 🙂
Pour diverses raisons que je vous épargne, le thème « dino » me paraissait évident. Je me suis donc mise en quête du parfait gâteau dino sur internet, « parfait » signifiant pour moi :
– facile à réaliser, car je n’ai rien d’une cake artist et n’allais pas me lancer dans une sculpture périlleuse
– je voulais néanmoins un gâteau qui marque le coup, mignon, sympa et qui étonne Mini-biscuit
– évidemment sans sacrifier au bon, ce devait être un gâteau au chocolat qui déchire
Le diplodocake remplit ces 3 critères !
Pour le mettre au point, je me suis à la fois inspirée :
– de cette vidéo Howdini pour bien comprendre le montage. Pas d’inquiétude si vous ne parlez pas anglais, c’est très visuel !
– de ces patrons téléchargeables pour les découpes, ils s’appliquent à 2 gâteaux de 20 cm de diamètre (descendez sous la recette jusque « Print this handy cake template »)
– de cette photo du blog Mes recettes – tout simplement, car j’ai beaucoup aimé la crête en barquettes (descendez sous le gâteau loup !)
– et d’une excellente recette de gâteau au chocolat, LE gâteau au chocolat que j’ai déjà fait 1000 fois. C’était LA valeur sûre pour réussir le dino, à condition de le saisir un peu plus que d’habitude, car un cœur trop fondant ne se prête pas bien aux découpes. Quoi qu’il en soit, vous pouvez très bien suivre la même recette pour faire un gâteau classique, il sera tout autant délicieux !
« Vous pouvez très bien suivre cette recette pour faire un gâteau classique,
il sera tout autant délicieux ! »