Si la tendresse se mangeait, elle pourrait ressembler à ces bouchées d’aubergines 🙂 Parce qu’elles sont toutes douces et crémeuses. Elles ont pour autant leur petit caractère : une pointe d’acidité et une once d’amertume détonent en bouche.
Trop souvent servie frite, l’aubergine s’avère bien plus à son avantage (et diététique, et digeste) sous cette forme. Moi, j’en redemande !
Les quiches sont vraiment déclinables à l’infini (et au-delà). Cette fois, plutôt que d’innover question garniture, je me suis attaquée à l’appareil lui-même, en y incorporant des œufs montés en neige. L’idée me trottait en tête depuis longtemps… Alors pour tenter le coup, mais sans tenter le diable, me suis lancée avec un classique tomate moutarde. Le sucre de la 1ère et le piquant de la 2ème en font définitivement une valeur sûre.
Verdict ? Une jolie couleur caramel à l’œil, un petit nuage aérien en bouche… Je pensais que ça nous tiendrait 2 repas, on a tout dévoré !
Ce que j’aime particulièrement en faisant mes pâtes maison, c’est qu’en plus d’être excellentes (fines, légères, croustillantes…) je sais exactement ce qu’il y a dedans. Que des bonnes choses, que l’essentiel : pas de graisses étranges, pas de conservateurs, de colorants, de sucre, pas trop de sel… Aucun superflu, mais tout mon amour 🙂
Grande fan de quiches et tartes salées, je n’ai plus acheté de « prêt-à-dérouler » depuis près de 2 ans. Je me suis même attaquée à la feuilletée (galette des rois oblige !) et ne ferais marche arrière pour rien au monde. La pâte brisée est inratable, rapide avec un robot, elle se prépare à l’avance comme au dernier moment, se customise à souhait et en plus elle peut nous rendre fière (c’est moâ qui l’ai faite) alors lancez-vous !
Depuis 8 semaines que (PRESQUE) existe (« seulement » ou « déjà », à vous de juger !) voici la 1ère recette non-végétarienne du blog. L’occasion d’éclaircir un chouïa de détail : je ne suis PAS végétarienne ! Ni par conviction, ni par goût. C’est pourtant par esprit de contradiction goût que je cuisine essentiellement végé. Mais ce n’est donc PAS à l’ordre du jour.
Accueillant mon papa le weekend dernier (celui qui prend un air circonspect devant toute graine et qui pouffe à la seule évocation du tofu) j’ai mitonné ces lasagnes au jambon, inspirées de loin de la recette de Capussyne, une adepte WW (encore eux !) Très franc succès à table. C’est plein de saveurs et ultra-crémeux… Vraiment convaincant !
C’est précisément en août 2009, sous le soleil de plomb barcelonais, que j’ai goûté mon premier gazpacho. Plutôt originaire d’Andalousie que de Catalogne, j’en garde néanmoins un souvenir délectable.
S’en sont suivis des étés où je n’ai vécu que d’amour et de gazpacho 🙂 Pour l’instant, avouons-le, je vis surtout de gazpacho ! Ce qui n’est pas pour me déplaire : c’est gorgé de soleil, diététique, plein de vitamines et ça ne vous contredit jamais !
J’aime substituer l’oignon par une branche de céleri et, juste pour le plaisir, y ajouter quelques dés de feta et une pointe de piment d’Espelette. Si comme moi vous vous posiez la question, ça s’écrit gaspacho en français et gazpacho en espagnol. Olé !
C’est le retour de la chaleur et de nos envies de fraîcheur ! Voici donc une nouvelle venue dans la série des salades sucrées, salées et colorées.
Il a soufflé sur celle-ci une petite brise grecque (feta, olives, origan) mais elle fait surtout la part belle au melon et à la pastèque. Le mélange est top, les saveurs super équilibrées.
Voici donc l’occasion parfaite de rappeler comment choisir son melon sans se planter : on prend le temps de bien les sentir (je renifle tout l’étal) et parmi les meilleurs au nez, on choisit le plus lourd. Idem pour la pastèque, à taille égale, on opte pour la plus lourde. Im-pa-rable.
Même si le soleil se fait un peu désirer en ce 14 juillet, il a déjà beaucoup rayonné cet été, et la chaleur devrait être de retour dès demain ! Une excuse toute trouvée (s’il en faut) pour concocter cette petite gourmandise ultra facile et sans sorbetière. Car truc vraiment ridicule, j’ai une sorbetière, mais elle ne rentre pas dans mon congèl’… Gag !
Un gag qui permet de ruser et d’obtenir cette glace super légère, puisque inspirée des proportions WW. Vous pensez que je fais souvent référence aux recettes WW ? Et vous n’avez pas tort. Elles sont le plus souvent créatives, évidemment saines et bluffantes de gourmandise. Alors en avant !
C’est un accompagnement tout simple et plein de soleil que m’a fait découvrir une amie belge, provençale d’adoption. Servies fraîches, ces tagliatelles font grand effet avec des grillades et se préparent facilement à l’avance !
Weekend, soleil, terrasse, transats, copines… Vous voyez le décor ?! C’est le moment idéal de servir la « Chose » ! Vous connaissez ? Une amie m’a fait découvrir ce cocktail sans alcool. C’est désaltérant, peu sucré et tout rose, comme j’aime 🙂
Dans la série des noms farfelus, il existe aussi le « Machin » à base de jus d’orange et mon amie a institué le « Truc » au jus d’ananas !
J’avais tenté ça par hasard l’été dernier, et whouaw, le mariage avocat fromage bleu est carrément terrible. La force de l’un, la douceur de l’autre, les textures crémeuses sur le pain croustillant… Je ne vous en dis pas plus !
Mon coup d’essai s’était joué avec du bleu de Saint-Flour. J’ai tenté cette fois avec la Fourme d’Ambert (plus douce), mais si comme moi vous raffolez des pâtes persillées, sortez des sentiers battus et prenez le temps de toutes les découvrir : Gex, Causses, Bresse, Auvergne ou Stilton au-delà de nos frontières… On a l’embarras du choix !
La tartine étant assez riche, elle est vite rassasiante. Quelques feuilles de salade tendre à l’huile de noix suffiront à l’accompagner 😉