Ce curry rapide reste depuis plusieurs années votre recette favorite du (presque) blog. Et vous ne vous y trompez pas, cette petite tuerie est délicieusement fondante, toute douce et réconfortante <3 En 2018 je lui ai fait subir une sorte de contrôle qualité, en testant ma propre recette ici. Elle est toujours aussi simple, gourmande et vegan. J’espère qu’elle vous plaira !
Pour lui faire meilleur honneur, j’ai rephotographié le plat en 2020, accompagné de quinoa.
Si plus jeune j’avais du mal avec le cru, je n’ai aujourd’hui plus de limite en matière de carpaccios et de tartares, de viande et de poisson. Mes dernières réticences sont récemment tombées, alors que je cédai à l’appel des sashimis. Ce que j’apprécie globalement dans le cru, c’est son extrême finesse.
De la « finesse ». Le mot est bien choisi pour parler du tartare d’aujourd’hui. La Saint-Jacques est LE mollusque raffiné. Avec la mangue et l’avocat, association qui me trottait dans la tête depuis longtemps, l’alliance de saveurs et de textures est top. Les couleurs auraient pu être un peu plus chamarrées, mais à défaut d’en prendre plein les yeux, j’en ai pris plein le palais 😉
J’ai trouvé des noix sans corail. Si les vôtres en ont, demandez à votre poissonnier si vous pouvez les congeler, ils seront parfait pour donner consistance et couleur à une sauce de poisson. Si vous prenez des Saint-Jacques surgelées, décongelez-lès dans un bain de lait. D’autres conseils pour bien les choisir et les préparer sur le célèbre blog Papilles et pupilles.
J’ai servi ce tartare en plat. On peut réduire les quantités pour une entrée, voire le présenter en cuillères apéritives.
Des idées pour votre 31 ? Cette recette piochée dans le livre Au plaisir de la pomme de terre de Jean-Marc Gourbillon accompagne parfaitement les volailles de fêtes ! Fine et savoureuse, l’alliance de la pomme de terre et de la pomme fruit sublime aussi le boudin (encore lui !) et le gibier.
J’ai divisé les proportions initiales par 2 et j’ai totalement squizzé le beurre, raison pour laquelle c’était un tantinet sec chez moi… N’hésitez pas à jouer avec les quantités de lait, de beurre, voire d’eau de cuisson pour obtenir une consistance plus soyeuse !
Je prolonge encore un peu l’ambiance de Noël avec ces amuse-bouches choupinets comme tout ! Ils ont vraiment enthousiasmé la famille au réveillon, tant par leur allure ludique et super mignonne, que par leur goût.
L’idée est piquée de ces sucettes sapin et de ces sucettes au brie. Il est bien évidemment possible de les décliner de toutes les formes pour toutes les occasions et surtout, de les garnir à l’envi. J’ai opté pour du fromage contrebalancé d’une touche sucrée… C’est tout moi ça ! Si le chèvre frais s’est très bien tenu à la cuisson, le brie, plus fondant, s’est un peu échappé. Enfin rien qui n’ait nui à notre plaisir de les croquer 😉
Si l’on en croit Wikipédia, le boudin blanc serait servi à Noël dès le Moyen Âge. Pas encore sous sa forme actuelle (je vous épargne les détails) qui débarque sur les tables de fêtes au 17ème siècle, rien que ça.
Bien qu’ancestrale donc, ma petite recette innove par son accompagnement : une mêlée gourmande et jamais vue qui se marie rudement bien aux boudins. La préparation est un peu fastidieuse, car elle requiert plusieurs cuissons séparées avant assemblage, mais elle est relativement rapide et franchement facile pour un résultat au top !
Elles s’invitent sur le plateau de fromages apportant douceur et originalité… Ce sont les dattes déguisées au fromage frais ! Cette recette est une nouvelle fois inspirée du livre Un festin de nature, d’Erin Gleeson, duquel j’avais déjà tiré cette salade sucrée salée aux kakis. Soit dit en passant, ce très beau livre ferait un chouette cadeau de Noël à tout végétarien ou sympathisant 😉
Si Erin Gleeson propose uniquement des dattes au fromage de chèvre frais, j’ai décliné une 2nde version au Philadelphia pour satisfaire tous les palais. J’ai également choisi de jouer la carte orientale à fond en ajoutant un filet de miel au fromage de chèvre et quelques gouttes d’eau de fleurs d’oranger au fromage frais. Un cocktail très étonnant et franchement délicieux !
Une idée légère pour le week-end ? Voici une belle assiette toute verte, toute fraîche et de saison. Je me suis inspirée de cette recette, glanée sur Fourchette et Bikini, après quoi je me suis laissée emporter par mon flair, qui m’a dicté cette fois d’y ajouter de l’avocat (pour parfaire le côté vert) et des amandes grillées (pour parfaire le côté miam).
C’est à l’arrivée une salade délicieuse, surprenante d’originalité et de finesse, douce, acidulée et pleine de pep’s ! Certains estomacs sur pattes ne s’en contenteront pas, moi ça m’a fait mon repas.
J’avais cette idée dans un coin de ma tête (et le potimarron dans un coin du congél’) depuis cette mêlée de légumes d’automne. Ne cherchez aucune logique dans le curry ci-dessous, il s’agit d’un melting pot indo-exotico-oriental dont la seule origine est ma curiosité !
Finalement elle ne fait pas trop mal les choses, ma curiosité. Ce curry tout doux et crémeux est relevé par la fraîcheur du gingembre et de la coriandre, et surtout, par le parfum des épices. Le garam masala, littéralement « mélange d’épices » contient traditionnellement des graines de coriandre, du cumin, du poivre noir, de la casse, du gingembre sec, des feuilles de fenugrec, de la cardamome, du piment jaune, des clous de girofles, de la noix et des fleurs de muscade, le tout moulu. Oui, avec tout ça, on en prend plein la truffe et les papilles !
Certains préféreront assortir le curry de riz basmati, et ajouter un oignon rouge, à faire dorer en tout début de cuisson avec le gingembre 😉
Depuis quelques temps que vous me suivez, vous savez maintenant qu’un régime sans lactose, a fortiori sans fromage, me rendrait malheureuse… Après avoir goûté à cette quiche, j’affirme que ce serait un supplice !
Qu’on se le dise, la recette que vous vous apprêtez à découvrir se résume en 2 mots : tuerie absolue. Parce qu’une photo vaut mieux qu’un long discours et parce que les mots ne seraient pas à la hauteur, je n’en dis pas davantage 😀
Qu’on les appelle endives ou chicons, c’est officiellement la saison ! Je les préfère crues et croquantes, d’autant que le soleil qui brille ce week-end (youpi !) me donne envie de fraîcheur. C’est donc en salade et (sans surprise) avec du roquefort que je vous les présente aujourd’hui. Un classique de saison qui joue une nouvelle fois la carte du sucré salé, l’amertume en plus 😉
Pour se familiariser avec l’endive (légume qui n’existe pas dans la nature !) cette chouette BD nous raconte sa vie de façon rigolote. Notez en plus que, comme la poire, l’endive est source de vitamine C et de zinc, cocktail qui booste notre système immunitaire. Pas mal vu le climat changeant.
Les quelques grains de raisin noir apportent un peu de couleur, ce qu’on pourrait également faire en panachant endives blanches et rouges.