Nous voici de retour d’une semaine de vacances en Normandie ! Depuis 2 ans qu’on n’avait pas vu la mer, ça nous a fait un bien fou, même sous la pluie ^^. Dans notre petit Luxembourg, notre potager semble s’être réveillé en notre absence 🙂 Les courgettes ont poussé comme des haricots magiques, l’occasion de tester de nouvelles recettes avec ce légume que j’adore, sous toutes ses formes. Avec ces croquettes, c’est toute la famille qui s’est délectée ! Je pensais qu’il en resterait, on a tout englouti en un clin d’œil 🤭
Pour les accompagner, je n’ai pas fait une, ni deux sauces trempettes, mais trois ! Le pesto est vraiment optionnel, c’est parce que j’avais un pot ouvert. Et si vous ne deviez en préparer qu’une seule, privilégiez la sauce tomate. Elle se marie vraiment à merveille !
Pour cette recette, je me suis inspirée de la championne des boulettes et croquettes en tout genre, j’ai nommé Emilie, du blog Le labo de maman !
Je vous disais la dernière fois que j’avais grave la flemme… N’allez pas croire que je me suis interrompue 1 mois par fénéantise, tttt. Car il s’en est passées des choses en 1 mois ! Déjà, je vous rassure : j’ai continué à m’alimenter 😀 J’ai continué à cuisiner, à goûter, à photographier et j’ai maintenant une foule de recettes en retard à vous partager ! J’ai aussi continué à travailler sur des aspects plus techniques du blog. Des choses obscures qui ne se voient pas encore, pourtant les travaux en sous-sol se poursuivent 😉 L’été, s’est bien la saison des chantiers, non ?
Eté, été… je m’emballe un peu, pas vrai ? Ici, on peut dire qu’on frôle l’apocalypse… 3ème inondation en moins de 15 jours, faut être accroché·e. Par une chance immense notre maison a été épargnée. C’est néanmoins effrayant de constater à quelle vitesse les événements climatiques s’accélèrent. Souvenez-vous qu’il y a 2 ans, le sud-ouest du Luxembourg était frappé d’une tornade… oui, une vraie TORNADE !
Bref, j’ai eu un grand plaisir à retrouver tous les légumes estivaux (sur les étals plus que dans le potager, il est en retard mais commence à donner). Sans surprise, je privilégie encore la cuisson au four vu les températures. Or un plat gratiné que j’adore par-dessus tout et que je n’avais encore jamais eu l’occasion de cuisiner moi-même : les Melanzane alla Parmigiana ! Comprenez des aubergines à la parmesane. Je me suis inspirée de la recette de Jamie Oliver dans son livre L’Italie de Jamie. Il a sillonné l’Italie pour saisir l’essence même de leur cuisine et affirme lui-même qu’il aurait dû naître italien. Un régal !
Jamie gratine sont plat d’un mélange de chapelure et de parmesan ET de mozarella. Vous pouvez très bien privilégier l’une ou l’autre option au choix, sans les cumuler, en fonction que vous soyez plutôt dans le team croustillant ou plutôt dans le team fondant. On a mangé à 2½ dessus, et comme le reste était un peu short pour en faire un 2nd repas, j’ai accompagné ce 2ème round de quelques pâtes qui se sont parfaitement accommodées bien sûr !
En ce moment, j’ai la flemme… La flemme de cuisiner, la flemme de bloguer, la flemme de beaucoup de choses à vrai dire 🙂 Je ne sais pas si c’est l’effet de l’été qui démarre ou quoi que ce soit des derniers temps qui me donnent l’impression tout fout l’camp, toujours est-il que je laisse couler, sans forcer.
Malgré tout, ma gourmandise sera toujours plus forte que ma fainéantise… En plus il y a des trucs franchement bons et franchement simples ! C’est le cas de cette tarte tatin au fenouil. Je trouve qu’elle en jette pas mal, et on s’est absolument ré-ga-lés (même Mini-biscuit !) sans efforts. Genre vraiment pas d’efforts. Donc si les températures vous permettent encore d’allumer votre four et que, comme nous, vous aimez le fenouil, foncez les z’amis !
Vous dites plutôt pois mange-tout ou pois gourmands ? Il paraît que ce n’est pas la même chose, mais je suis bien incapable de les différencier et les appelle plus volontiers mange-tout !
Quel que soit leur nom, j’ai beaucoup aimé cet assaisonnement à la sauce soja ! Pour un 1er repas on les a mangés tel quel en accompagnement. Le reste, je l’ai mélangé avec des nouilles chinoises aux œufs, quelques petits pois, des rondelles de carottes, une fine omelette coupée en lamelles, du gingembre, re-ail, re-sauce soja et un peu d’huile de sésame. Un plat complet que je n’ai pas photographié (désolée !!!) mais qui nous a bien régalé.
Pour cette recette, je me suis très librement inspirée du site Cuisine libre.
Aaaah le brocoli et moi, c’est une grande histoire d’amitié 🥰 Je le cuisine régulièrement sous plein de formes, mais n’avais encore jamais pensé à en faire un tajine… Ça m’a traversé l’esprit ces derniers jours et bam ! Même s’il est un peu tôt dans la saison, c’était le légume le moins cher de mon étal, alors j’ai craqué. Non mais sérieusement, marre des poireaux !!! Maintenant que le printemps est là et que le soleil brille, je suis trop impatiente de mettre des épinards et des asperges dans mon assiette. En les attendant (de pied ferme), je prends quelques libertés.
Pour ce tajine (qui n’a rien de traditionnel, on est d’accord), je me suis inspirée de mes recettes habituelles, c’est à dire des épices douces, une touche de miel, mais plutôt que les fruits secs que je mets souvent (pruneaux, raisins secs, abricots secs…) j’ai eu envie de plus de soleil ! Décidément. Les tomates séchées et les olives ont donc fait leur entrée dans ma cocotte. Et pour changer de la graine de couscous, je l’ai servi avec du boulgour, mais faites comme vous aimez !
Savez-vous planter les choux, à la mode, à la mode… ♬ Personnellement non ! Les plantations c’est le domaine de Nom-de-code-chéri (aka le meilleur jardinier du moôonde), mais les cuisiner, c’est mon plaisir à moi ! A force de voir passer sur internet toutes sortes d' »ailes de poulets » vegan à base de chou-fleur ou de bouchées tater tots au chou-fleur, j’avais très envie d’en faire des boulettes à ma façon. Je les ai accompagnées de 3 sauces, histoire de satisfaire tout le monde et de varier les plaisirs : du ketchup pour Mini-biscuit, de la sauce barbecue et une petite sauce maison à base de yaourt dont je vous mets le détail ci-dessous.
Petit avertissement : si vous aimez moyennement le chou-fleur, ou si vous espérez pouvoir en faire manger aux enfants sous cette forme ludique, pas sûre que ça fonctionne. La cuisson à la vapeur accentue le goût qu’on aime (ou pas) du chou-fleur. Nous, on s’est tous les 3 régalés, mais si vous n’êtes pas sûr·e que tout le monde adhère chez vous, remplacez le paprika fumé par du curry, il couvrira davantage 😉
Ce qui m’a séduit dans cette tarte, hormis qu’elle soit très bonne, c’est sa rapidité d’exécution : inutile de faire dégorger la courgette au sel ou de la poêler, pas besoin non plus de précuire la pâte… Grosso modo on jette tout dans le plat à tarte et bingo ! « Jeter » n’est pas une façon de parler, puisque j’étais en même temps au téléphone avec une copine et que Mini-biscuit m’a interrompue plusieurs fois… Le vraie vie, quoi ! Mais du coup je n’ai pas trop compté, ni rien pesé de ce que j’ai mis dessus. Je vais essayer de vous restituer une recette aussi fidèle que possible !
Je me suis inspirée de cette recette sur Cuisine AZ.
En ce moment, je suis sur tous les fronts ! D’un côté les cartons, de l’autre les derniers travaux avant emménagement, et entre les deux, toutes mes vies : chérie, maman, collègue, fille, amie, cousine, sœur… Tout ça à la fois, comme vous bien sûr ! Et vous l’avez déjà remarqué, c’est ma vie de blogueuse qui pâtit le plus. Parce que des recettes, j’en ai plein, mais je ne trouve plus le temps de vous les partager !
Je repasse donc en coup de vent pour vous poster ces galettes aussi chaleureuses que parfumées. J’adore les galettes, même si elles ont tendance à me donner des sueurs froides au moment de les retourner dans la poêle… Généralement ça passe ou ça casse, vous voyez ce que je veux dire ? 😉 Bref, le résultat n’est pas très photogénique, mais qu’est-ce que c’était bon ! On a tous les 3 adoré, on s’est même regardés en coin pour savoir qui aurait la dernière 😀
Pas de repos pour les braves ! Cet été est placé sous le signe des travaux pour Nom-de-code-chéri et moi-même. Après une virée de 3 jours sous le soleil proche de chez nous (il a fait tellement beau et chaud !!!) nous avons travaillé d’arrache-pied sur le chantier de notre maison… Voir notre futur nid prendre forme est plus excitant que jamais ! Maintenant le déménagement approche et je suis d’autant plus impatiente que là-bas, le jardin nous tend les bras. Or vous serez nombreux à comprendre que, après avoir vécu un confinement en appartement, il s’annonce comme un don du ciel.
L’autre don, c’est le potager dans lequel Nom-de-code-chéri œuvre avec talent. Après une interminable déferlante de courgettes (assez miraculeuse vu la sécheresse et qu’on n’arrose pas), le potager nous a offert des cornichons, des carottes, des petits pois, des haricots verts et des pois mange-tout… Ce n’est pas fini, puisque je vois déjà exploser les courges, les pommes de terre et tout le reste. Mais pour l’heure, ce sont les pieds de tomates qui croulent sous les petits fruits rouges. Il ne s’agit pas à proprement parler de tomates cerises, mais par manque d’eau et quelle que soit la variété, nos tomates restent petites. Délicieuses, gorgées de soleil, c’est une véritable explosion de saveurs en bouche. Que la nature est belle ♥
Pour élaborer cette tarte, je me suis à la fois inspirée de la pâte sablée trouvée sur le site Hervé cuisine et de cette tarte du blog Les filles, à table !
J’étais persuadée que Mini-biscuit adorerait picorer ces croquettes avec les doigts, parce que c’est ludique, des boulettes qui font trempette. Mais comme la vie est pleine de surprises, Nom-de-code-chéri et moi-même avons beaucoup apprécié grignoter ces petites bouboules, tandis que Mini-biscuit les a totalement boudées… Tant pis pour lui !
Ne faites surtout pas l’impasse sur la sauce, qui apporte tellement de fraîcheur ! Ces boulettes constituent un dîner super sympa avec une salade 🙂
Je me suis inspirée de la recette d’Emilie. C’est paraît-il la recette qui a le plus de succès sur son joli blog Le labo de maman !