Celui-ci, j’ai dû le faire un petit million de fois. Il est toujours aussi simple à préparer (tantôt au roquefort, tantôt au gorgonzola) et j’ai toujours le même plaisir à le grignoter ! Que ce soit à l’apéritif, en pique-nique, voire toasté avec un bol de soupe, ce qui est davantage de saison que le pique-nique 😉
La recette qui n’a plus à faire ses preuves est tirée du best-seller Les cakes de Sophie (plein de recettes salées et sucrées cadeaux en suivant ce lien !) mais duquel j’ai supprimé les lardons et très légèrement réduit la quantité d’huile.
J’ai tendance à penser que le guacamole est l’invité obligé d’un apéritif festif réussi ! En plus, sans se goinfrer de tortillas chips (que je préfère appeler chips triangles) c’est carrément sain. Les mexicains ont été rudement inspirés en créant cette fraîche purée épicée… Se doutaient-ils qu’elle régalerait les tables du monde entier ?!
La seule subtilité consiste à seoir aux sensibilités de chacun, parce qu’ici, qui peut le plus ne peut pas le moins. S’il est toujours possible d’ajuster le piment à la hausse, difficile de faire marche arrière. J’ai donc pris un parti consensuel !
La météo du moment désespère tout le monde… Du moins dans ma contrée, l’alternance d’averses diluviennes et d’orages à tout péter n’en finit pas d’alimenter les conversations. Or je n’ai pas trouvé meilleur rempart contre la morosité qu’un apéro, quelques amis dispos au pied levé et un cake salé. J’avais en plus une très belle nouvelle à leur annoncer (je vous en parlerai peut-être si vous êtes sages 😉 et un match à leur mettre sous les yeux ce soir-là. Bingo ! Ciao les conversations météo !
Habituellement je m’inspire des incontournables cakes de Sophie, mais n’ayant pas de fromage râpé (ni de fromage à râper) je me suis rabattue sur une recette des Foodies. Je me souviens avoir préparé ces muffins en août 2012 pour l’une de mes crémaillères (l’avantage de déménager souvent). Ils ne m’avaient pas laissé un souvenir impérissable, mais remastérisés en fonction de mon fond de frigo, ce cake a tout cassé !
J’avoue avoir hésité avant de partager ces petites brochettes, tellement elles semblent aller de soi. Finalement, parce qu’elles sont mignonnes, fraîches et colorées, parce qu’elles trônent sur chacun de mes buffets apéro depuis ma 1ère crémaillère, je me suis dit qu’elles avaient une petite place ici.
Je les monte habituellement avec de petites billes de mozzarella coupées en 2, mais n’en ayant pas trouvé cette fois, j’ai coupé de bons vieux cubes dans ma boule (tout ça devient très géométrique…) N’hésitez pas à alterner les tomates cerises rouges, oranges et jaunes, les olives vertes et noires, voire à intercaler une petite chiffonnade de jambon cru 😉
La coupette, c’est toujours avec modération les amis 😉
Les falafels et moi, c’est donc naturellement une grande histoire d’amour… Mais imaginaire ! Car bien que souhaitant en faire depuis longtemps, et bien qu’ayant déjà épinglé des dizaines de recettes, c’est ici la 1ère fois que je me lance. Une autre 1ère : l’épluchage de pois chiches ! Cette étape que je jugeais fastidieuse et plutôt superflue rendrait les pois chiches plus digestes. La vue du monticule de peaux vides et échouées telles des mues de serpents m’a convaincue. Et même si c’est un peu long, ce n’est vraiment pas compliqué.
Ces belles petites croquettes dorées sont habituellement frites. Bien, mais la friture et moi… Lorsqu’une alternative diététique semble avoir fait ses preuves (et je le confirme ici) je préfère, hein. Je me suis donc librement inspirée de cette recette d’Anne & Alex. J’ai lu plusieurs fois qu’il était préférable d’employer des pois chiches secs, que l’humidité serait l’ennemi de la falafel et aurait tendance à la désagréger. J’ai utilisé une conserve, j’ai bien essuyé les pois après leur épluchage, et tout s’est très bien tenu 😉
Ça ressemble à une panna cotta vanille, ça ressemble à un coulis de fruits rouges… Mais comme le Canada Dry en son temps, cette petite verrine se déguste à l’apéritif plutôt qu’au dessert. Lorsque cette idée m’a traversé l’esprit, je pensais naïvement être la 1ère à l’avoir eu. C’était sans compter sur la créativité d’Anne, du blog Station gourmande qui m’a devancée il y a quelques années 🙂
Cette panna cotta salée a toute sa place dans la 33ème Bataille Food (dites 33) placée sous le signe de la « La Dolce Vita ». Un thème qui tombe à point en ces débuts printaniers qui promettent du soleil et de la douceur à venir 🙂 Une fois n’est pas coutume, c’est Olivier (un hoooomme !) qui parraine cette édition. C’est justement sa condition de parrain et son humour qui lui ont donné envie d’Italie (parrain, mafia… Je vous laisse emprunter les raccourcis qui s’imposent). D’autant qu’Olivier, restaurateur lyonnais du blog Sharing cuisine n’a jamais caché avoir un homme de main… Un moustachu qui répond au nom de monsieur Woody. Ne nous laissons pas berner par sa tête de cuillère en bois, ce doit être une couverture.
Au-delà d’un doux air de Dolce Vita, le thème de cette bataille imposait l’utilisation d’un fromage italien et d’un fruit ou légume de saison… J’ai conscience d’être très limite sur le légume de saison, mais avouons qu’une panna cotta combinant olives, basilic, parmesan, poivron, tomate et câpres, on fait rarement plus italien, non ? Toutes les couleurs du drapeau y sont, en tout cas !
Pour mémoire, la Bataille Food est un jeu culinaire réunissant chaque mois blogueurs et amateurs de cuisine autour d’un thème impliquant 2 ingrédients imposés. La fondatrice de ce gentil concours est Jenna, du très beau blog Bistro de Jenna. Le principe veut que le lauréat d’une édition organise la suivante, propose un thème et désigne son successeur. Les participants publient une recette inédite et illustrée sur leur page Facebook et/ou leur blog chaque 1er mercredi du mois à 18h00 tapantes. Je suis au rendez-vous pour la 4ème fois déjà !
Le printemps approche et mon congélateur déborde toujours de potiron ! La raison, je vous la donnais avec la recette d’orzotto (au potiron évidemment…) Et bien que plusieurs soupes soient passées par là, il m’en reste suffisamment pour vite expérimenter quelques gourmandises avant que les hirondelles ne débarquent pour de bon.
C’est donc bien de potiron dont il est question pour ma 2nde participation au « Passe-plats entre amis ». Le thème sur lequel Samar, du très ensoleillé blog Mes inspirations culinaires, nous a invité à nous pencher est « Voyons la vie par le petit bout de la lorgnette ». Autrement dit, il faut penser petit, mini, mignon, micro bouchée vite dévorée ! C’est ainsi que le cake au potiron et graines de Valérie, du très joli blog Framboises et bergamote est devenu entre mes pattes de petits itsi bitsi mini weeny tout petits… Muffins ! Vous noterez qu’au 1er rayon de soleil printanier, je pense déjà bikini 😀
Ces muffins sont moelleux a souhait, le croquant des graines en plus. Mangés tièdes, le goût délicat du potiron s’estompe un peu derrière celui de… muffin. Mais une fois refroidis, il n’y a pas de doute, c’est bien de citrouille qu’il s’agit. J’ai rephotographié la recette début 2020.
En accompagnement de mes crackers au cumin, cette tartinade a fait carton plein ! Au départ j’avais envie d’artichauts, et des caviars d’artichauts, on en trouve tout plein de sortes sur internet… Avec du fromage frais, des amandes en poudre, des tomates séchées ou même avec des haricots blancs. Mais lorsque je suis tombée sur le blog Les recettes de Joséphine, l’idée des olives vertes a fait ding ding ding !!!
De la recette de Joséphine j’ai supprimé les tomates confites. J’ai en revanche ajouté du citron (très important le petit coup de frais !), du parmesan et du piment d’Espelette. Je pensais aussi y mettre du basilic mais il eut été franchement superflu. Au final, les olives prennent le dessus sur l’artichaut, mettez-en moins si vous ne voulez pas le perdre de vue. Mais honnêtement, le ramequin a tellement cartonné que perso je n’y changerais rien 😉
Je détourne l’expression consacrée pour un TGIT ! Thanks god it’s Thursday, puisque vous savez qu’avec moi, les jeudis, c’est afterwork ! J’ai préparé pour ce soir un apéro à la maison. Les petits veinards vont pouvoir goûter à plein de petits grignotages sympas.
Pour commencer, je vous présente mes 1ers crackers. J’ai voulu les faire à la farine de pois chiches, parce que c’est original, bon et sans gluten. Voulant encore pousser côté épices et orient, je me suis inspirée de la recette au cumin du magnifique blog Aime & Mange d’Emilie. Suivez le guide !
Allé, une petite dernière avec mes galettes de sarrasin ! C’est une façon simplissime et super goûteuse d’accommoder celles qui vous resteront peut-être. C’est aussi une bonne façon d’attaquer l’afterwork du jeudi 😉
Ces bouchées apéro (sans gluten) peuvent être garnies de 1000 façons aussi tentantes les unes que les autres : tartinades de tomates, caviar d’aubergines, houmous, pesto… Ou de fromage frais, saumon fumé et curry. Faites appel à votre imagination (et à vos fonds de placard) !