Dans la série « j’écluse la production de patates de nom-de-code-chéri » je vous propose, après le gâteau de pommes de terre et le parmentier végétarien… Le gratin ! Un plat chaud pour soirées froides, avec du roquefort et des baies roses, 2 de mes ingrédients chouchou pour la 1ère fois réunis <3
Je me suis inspirée du gratin au gorgonzola de Betty du blog Une végétarienne presque parfaite, mais au lieu de glisser les cerneaux de noix dans le gratin, j’ai préféré les parsemer sur la salade verte qui l’accompagnait !
Je vous parlais récemment de l’impressionnante récolte de pommes de terre de mon jardinier préféré, nom-de-code-chéri. Et bien après ce hachis parmentier végétarien, je me suis inspirée d’une recette de grand-mère pour faire meilleur honneur à sa superbe production !
Je pars du principe que les recettes de grand-mère ne traversent pas les générations sans raison… Aussi, ce gâteau de pommes de terre nous vient de la mamie d’Émilie, blogueuse du très beau Aime & mange. Si sa génération devait parler un français impeccable, exempt de tout anglicisme, les 2 expressions britanniques « back to basics » et « less is more » décrivent pourtant ce plat à la perfection : des pommes de terre, du beurre… Un vrai retour à l’essentiel, qui s’avère ici crousti-fondant-gagnant 😉
Je lui trouve plutôt l’allure d’une tarte, mais allons bon, n’allons pas contrarier mamie !
Voilà que Monsieur Woody, la cuillère en bois moustachue dont je vous parlais déjà avec mes panna cotta aux olives, lance un nouveau défi aux blogueurs ! Cette cuillère (plus rien ne m’étonne) et son complice Olivier, du blog Sharing Cuisine, ont créé le jeu Régalades en cascade. L’idée ? Poster une recette axée sur l’un des 2 ingrédients imposés, puis désigner 5 amis blogueurs qui plancheront le mois suivant sur d’autres ingrédients de saison.
Merci à Sandrine, du blog Tranche de Régalade qui m’a passé le relai. Des 2 thèmes au choix, j’ai opté pour « Monsieur patate se prend pour Monsieur Woody », bien qu’étant du pays des mirabelles (avec mes sabots) l’autre thème « Les blondes ne comptent pas pour des prunes » me collait davantage. Mais justement ! Des pommes de terre je n’en mange pas souvent, c’était la parfaite occasion d’essayer les gnocchis que je convoitais depuis longtemps ! Si la texture était à la hauteur de mes attentes, je regrette de ne pas avoir goûté un gnocchi nature. La sauce coco et le gingembre ont dominé le goût de la patate douce, que je n’ai pas retrouvé. Idem pour la farine de châtaigne, qui n’est pourtant pas du genre à s’effacer.
S., la collègue qui avait déjà eu la gentillesse de me faire profiter du potiron géant de son potager l’hiver dernier, vient de récidiver en m’apportant 2 magnifiques courgettes et des branches buissons d’estragon.
En voulant faire honneur à ces beaux produits frais, cultivés avec amour, j’ai associé pour la 1ère fois la courgette et l’estragon. Je n’y aurais pas forcément pensé et pourtant, ça fonctionne à merveille ! Cette quiche sans pâte est savoureuse et parfumée, elle se déguste aussi bien chaude, tiède que froide, en repas avec une salade verte ou coupée en cubes pour l’apéro. Je suis allée chercher un peu d’inspiration sur les blogs J’en reprendrais bien un bout et Rachel et sa cuisine légère et gourmande, mais comme souvent, je n’en ai fait qu’à ma tête 😉
Je vous présente l’un de mes classiques en cuisine ! Parce que j’adore la graine de couscous et les légumes, et parce que cette semoule colorée se déguste aussi bien seule qu’en accompagnement de… Tout !
Chaude, tiède ou froide, tous les légumes peuvent y passer au gré des envies et des saisons : courgettes, fenouil, carottes, petits pois, brocoli, courges… Ainsi que quelques options comme des raisins secs, des amandes effilées ou des pignons grillés, des épices et aromates, de la sauce soja… Laissez parler votre imagination et votre garde manger 😉
On dirait que le soleil a enfin pris ses quartiers d’été ! J’en ai pleinement profité ce week-end, pas en m’installant confortablement dans un transat, ça non. Mais en reprennant les travaux dans mon jardin… Justement pour pouvoir y installer une belle terrasse et donc un transat prochainement.
Bref, il a fait chaud, très chaud, entre le mercure et les coups de pioche. En plus, la pioche, ça creuse ! Pas que le sol, l’estomac aussi 🙂 Mais pas le temps de s’arrêter et pas grand-chose dans le frigo (en tout cas ni la feta, ni la mozzarella que je croyais avoir)… Qu’à cela ne tienne ! Ma salade express a fini au parmesan et mmh, un vrai succès.
Tout commence avec une photo. Mon meilleur ami a l’habitude de déguster cette salade lorsqu’il voyage en train, il en raffole, il en voudrait encore et encore, il me photographie et m’envoie sa composition dans l’espoir que je la lui reproduise fidèlement. J’aurais mis un peu de temps à m’exécuter (vaguement 1 an…) mais j’y suis parvenue ! À la différence près que ma copie maison n’a pas les sucres, acidifiants, épaississants, conservateurs et colorants de la version originale (c’est une bonne chose). Et que je n’ai pu m’empêcher d’ajouter ceci, de remplacer cela, et gna gna gna (est-ce vraiment une mauvaise chose ?!)
Si de moi-même je n’aurais pas spontanément testé l’association boulgour-quinoa, je suis ravie que mon Grand m’ait soufflé cette idée. Lui aussi, a semblé bien content à table puis comblé de repartir avec un tupp’ sous le bras 😉
Il y a déjà bien longtemps que je suis allée en Irlande, mais le souvenir de cette île aussi brute que chaleureuse reste intact. Ce jour de fête nationale est l’occasion de m’essayer à l’une de leurs spécialités. L’Irish Stew (ragoût d’agneau) très peu pour moi, j’ai eu envie de mettre à l’honneur l’ingrédient irlandais number one, j’ai nommé : la patate !
Selon Marmiton, la pomme de terre est le pilier de l’alimentation irlandaise dès le 12ème siècle. En 1845, une épidémie de mildiou décime les cultures, provoquant une famine historique et l’exode irlandais vers les États-Unis. La patate est néanmoins restée la star de leurs tables. À en croire Gabrielle du blog Petite Cuillère et Charentaises, ils en mettent même dans les gâteaux, comme dans ce gâteau au chocolat et pommes de terre !
Le boxty est une galette de pommes de terre bien différente de celles qu’on trouve dans ma région (cette région qui n’a plus de nom). Elle s’approche davantage d’un petit pain moelleux, surtout dans saversion au four, alors que j’ai trouvé d’autres recettes à la poêle. Ces boxties sont à accompagner d’une salade et d’une tranche de (rayer les mentions inutiles) fromage / saumon fumé / jambon. Mais franchement, si l’on zappe le poivre, ils doivent être déments avec de la confiture 😀
J’ai un peu hésité avant de publier cette recette… Parce qu’elle est bête et méchante, qu’elle m’a tout de même valu plusieurs tentatives et que les photos remontent à mon ancien appareil. Voyez-vous la différence ?
Alors pourquoi plusieurs tentatives ? Car j’ai d’abord utilisé des haricots secs, que j’ai fait trempé plus de 12h et que j’ai fait bouillir des heures et des heures (au moins, c’est bête, l’auto-cuiseur et moi on est fâchés). Le temps passé n’étant pas gage de réussite, le résultat était décevant, la peau des lingots étant restant trop ferme. J’ai beau être patiente, je ne le suis pas assez pour éplucher les haricots… Soit dit en passant, j’ai un collègue qui épépine ses fraises ! Bref, ma 2nde tentative avec des haricots en bocaux est bien plus satisfaisante. Servie avec un assortiments de légumes et de céréales, elle agrémentera une belle assiette veggie 🙂
Des frites de 3 couleurs, 3 saveurs, mais toujours croustillantes et moelleuses, ça vous donne envie ? Mmh je vous comprends ! C’est exactement selon le même principe que mes frites légères au four que j’ai préparé ce trio coloré et gourmand.
On aurait pu ajouter du butternut ou d’autres légumes anciens, dans tous les cas, comptez environ 250 g crus par personne !