Vous êtes à la diète ? Alors passez votre chemin ! Mais comme ici on ne regarde pas à la dépense calorique, on s’est fait bien plaisir avec cette recette de purée pleine de fromage, de crème, de beurre… La totale !
J’ai piqué cette délicieuse recette sur le blog de ma copinaute Marie, du blog Not Parisienne. Elle n’avait pas quitté mon esprit depuis sa publication au printemps dernier. J’attendais que les températures dégringolent, pour avoir une excuse pour me réchauffer et mmh, si comme moi vous êtes fan de gorgonzola, foncez !!!
J’ai improvisé ce tajine de courge pour recevoir une copine en 2013. Cette fois là, j’y avais mis des lardons. Ça devait certainement être bon, mais mes habitudes ont tout simplement changé depuis. Quand je dis « improviser », oui et non, car certes c’était nouveau pour moi de cuisiner du potiron et des marrons sous forme de tajine, mais ce mélange d’épices, de citron confit et de branches de céleri, je le connais bien, d’une recette de tajine au poulet que je vous partagerai prochainement.
C’est typiquement le genre de recettes à faire à votre sauce : prenez du potiron ou toute autre courge, remplacez les châtaignes par des pois chiches ou de la patate douce, peut-être ajouter un peu de concentré de tomates s’il n’y a pas de marrons, choisissez les épices à votre goût… Et revenez me dire quelle formule a bien marché 😉
Bien qu’un tajine traditionnel se mange sans, moi je l’accompagne de graine de couscous, ou même de quinoa pour changer. Je crois qu’il n’y a de toute façon rien de traditionnel dans cette recette !
Je ne crois pas avoir jamais orienté Mini-biscuit à s’intéresser aux engins de chantier, et pourtant, il leur voue un véritable culte ! En fait, il a commencé à admirer les camions poubelles et les balayeuses, puis toute la panoplie des engins de chantier, et plus récemment les tracteurs, les camions de pompier et les trains. Je crois qu’il y a quelque chose d’universel à ce que les petits garçons se passionnent pour les véhicules en tout genre, ceux de chantier en particulier.
« Quel bonheur de voir sa mine réjouie, ses yeux brillants et son sourire intimidé »
Pour son 2ème anniversaire, et pour lui faire le plus grand plaisir possible, j’ai voulu lui préparer un gâteau « chantier ». Je me suis alors mise en quête d’inspiration, en collectant un grand nombre de photos dans mon album Pinterest, que je vous invite à découvrir. À force de voir passer ces dizaines de gâteaux et de m’en imprégner, j’ai imaginé ce modèle unique, pour mon Mini-biscuit, qui compile ce qui me semblait à la fois mignon et dans mes cordes :
– Un balisage jaune et orange en M&M’s, des gravas en Maltesers et quelques engins plus que réalistes
– Son âge au pochoir, ici avec des Oreo écrasés façon graviers
– Un coin du gâteau est réellement en chantier, puisqu’il a été prélevé par la pelleteuse. Les anglo-saxon parlent d’un « digger cake », digger signifiant pelleteuse en anglais
Question recettes, je me suis à la fois inspirée :
– D’une base de Molly cake au cacao trouvé sur le blog Pompons et macarons. L’avantage du Molly cake, c’est que le beurre y est remplacé par de la crème fouettée. Du coup, pas de culpabilité à en mettre un peu dans le glaçage 🙂
– Du glaçage au cream cheese du blog Sally’s baking addiction
De ces 2 recettes, j’ai drastiquement réduit la quantité de sucre. Question de goût, et ça n’est juste pas possible pour moi d’en mettre autant. Honnêtement, tout le monde a apprécié comme ça.
« Vous pouvez suivre la même recette pour faire un gâteau classique, ou pour imaginer une autre mise en scène, du goût de votre Biscuit à vous ! »
Quel bonheur ça a été de voir la mine réjouie de mon Mini-biscuit, ses yeux brillants, son sourire intimidé, sa joie de souffler et de faire rallumer ses bougies ♥ Dès les roues des engins débarrassées de leur boue en chocolat, quel bonheur pour lui de jouer avec, à grand renfort de « vrrrr » et de « tut tut ». Beaucoup plus intéressant que de goûter au gâteau lui-même, il n’y a pas touché !
Le jour où je vous ai partagé mes cannelloni aux blettes et ricotta (en me demandant si c’était encore de saison…) Nom-de-code-chéri est rentré les bras chargés de blettes du jardin ! Le clin d’œil est sans appel, c’était bien la saison, mais la dernière récolte de l’année. Ouf ! Parce que moi je n’aime toujours pas trop ça, les blettes, même si j’avoue, elles passaient pas mal dans les cannelloni 🙂
Bref, me revoilà en quête de la recette qui me les fera apprécier, et en grande fan de fromages bleus, j’ai justement pensé qu’un grand renfort de roquefort pourrait aider ! J’ai pioché cette recette sur le très joli blog Au fil du thym, duquel j’avais déjà tiré ce superbe moelleux à la rhubarbe. Ce qui est plutôt marrant, puisque les cardes roses de mes blettes me font souvent penser à de la rhubarbe 🙂 Mais revenons-en à ce cake : ultra moelleux et parfumé, j’ai aimé (presque malgré les bettes, c’est moche à dire mais c’est un fait). Bref, ceci m’encourage pour la saison prochaine à tester une autre recette du blog de Florence, les rostis de blettes !
À la différence de la recette originale, je poêle les blettes plutôt que de les ébouillanter, et je remplace le beurre par de l’huile d’olive. Il n’en reste pas moins que Florence et moi avons exactement la même recette de base de cake salé !
Il y a longtemps déjà, j’avais partagé avec vous ma recette de dahl de lentilles corail. En fait, « dahl » (ou dhal ou dal ou daal, parce qu’il y a une vingtaine de langues officielles et plus de 800 dialectes pratiqués en Inde, alors c’est parfois difficile de s’y retrouver !) signifie « légumineuse ». Ce mot désigne donc de nombreuses variétés de lentilles, de haricots et de pois, et par extension, c’est devenu le nom du plat qui accompagne presque tous les repas !
Pour Mini-biscuit et pour changer un peu du riz, j’y ai ajouté des patates douces, ce qui en fait un plat complet, rassasiant et équilibré. Mini-biscuit a A-DO-RÉ, et nous avec !
J’ai ici doublé les quantités de la recette originale qui m’ont toujours paru un peu justes.