Dans la série « j’écluse la production de patates de nom-de-code-chéri » je vous propose, après le gâteau de pommes de terre et le parmentier végétarien… Le gratin ! Un plat chaud pour soirées froides, avec du roquefort et des baies roses, 2 de mes ingrédients chouchou pour la 1ère fois réunis <3
Je me suis inspirée du gratin au gorgonzola de Betty du blog Une végétarienne presque parfaite, mais au lieu de glisser les cerneaux de noix dans le gratin, j’ai préféré les parsemer sur la salade verte qui l’accompagnait !
Voici un dessert qui pourrait me donner envie de me réincarner en petit écureuil 🙂 Si les recettes de pommes au four sont légion (rivalisant souvent de beurre et de sucre) ma version aux noisettes me semble absolument inédite, 100 % saine et naturelle, absolument fondante avec de petits éclats de noisettes croquants… Un pur délice ! Le goûteur officiel du (presque) blog, j’ai nommé nom-de-code-chéri, a demandé à pouvoir décerner des *étoiles* aux recettes qu’il aime pour pouvoir en mettre beaucoup à celle-ci. Il n’a finalement pas dit combien, trop occupé qu’il était à faire des mmh et des humm.
Ce dessert est en plus totalement bio puisqu’ici les pommes et les noisettes fraîches sont du jardin. Certains des quartiers de pomme sont un peu biscornus, mais un coin véreux coupé à droite, un coin bruni coupé à gauche, n’est-ce pas à ça qu’on reconnaît les bonnes pommes maison ?!
Je me suis inspirée des pommes au four de Florence sur son blog Makanai.
Celui-ci, j’ai dû le faire un petit million de fois. Il est toujours aussi simple à préparer (tantôt au roquefort, tantôt au gorgonzola) et j’ai toujours le même plaisir à le grignoter ! Que ce soit à l’apéritif, en pique-nique, voire toasté avec un bol de soupe, ce qui est davantage de saison que le pique-nique 😉
La recette qui n’a plus à faire ses preuves est tirée du best-seller Les cakes de Sophie (plein de recettes salées et sucrées cadeaux en suivant ce lien !) mais duquel j’ai supprimé les lardons et très légèrement réduit la quantité d’huile.
J’avais déjà tenté les muffins aux Carambar il y a bien longtemps, sur base d’une autre recette (celle-ci ?) mais me suis laissée tenter cette fois par cette nouvelle version inspirée du blog Papilles et pupilles, attirée par l’idée de diviser par 3 la quantité de beurre.
Deux machines à laver discutent :
– Je suis en pleine forme !
– Moi, je suis lessivée…
Ces muffins sont très appréciables car, pour une fois, ils ne sont pas trop sucrés. En revanche le goût Carambar reste subtil… À refaire j’en mettrais davantage, probablement même un peu plus de beurre. Mais ne partez pas tout de suite ! Leurs frimousses caramélisée ont tout de même fait l’unanimité auprès de ceux qui les ont picoré 😉
On me casse souvent avant de m’utiliser, qui suis-je ? (1)
Les réponses aux devinettes se trouvent tout en bas de la recette, aux numéros indiqués 😉
Je vous parlais récemment de l’impressionnante récolte de pommes de terre de mon jardinier préféré, nom-de-code-chéri. Et bien après ce hachis parmentier végétarien, je me suis inspirée d’une recette de grand-mère pour faire meilleur honneur à sa superbe production !
Je pars du principe que les recettes de grand-mère ne traversent pas les générations sans raison… Aussi, ce gâteau de pommes de terre nous vient de la mamie d’Émilie, blogueuse du très beau Aime & mange. Si sa génération devait parler un français impeccable, exempt de tout anglicisme, les 2 expressions britanniques « back to basics » et « less is more » décrivent pourtant ce plat à la perfection : des pommes de terre, du beurre… Un vrai retour à l’essentiel, qui s’avère ici crousti-fondant-gagnant 😉
Je lui trouve plutôt l’allure d’une tarte, mais allons bon, n’allons pas contrarier mamie !
Vous ne résisterez pas à son fondant et à son goût ultra-chocolat !!! C’est MON gâteau au chocolat, celui auquel je reviens toujours et qu’on me réclame. La recette originale du « gâteau au chocolat fondant de Nathalie » est tirée du livre Je veux du chocolat ! de la célèbre irlandaise Trish Deseine. Je lui enlève un peu de sucre (elle en met 250 g) et le bat davantage. Ce n’est pas de la violence gratuite, je crois que le secret d’un gâteau réussi est dans le mélange… Donc fouet du robot à fond pour aérer et « alléger » la préparation. Bien qu’en cette Journée Mondiale du Chocolat, je n’ai pas particulièrement envie de penser léger !
J’ai tendance à penser que le guacamole est l’invité obligé d’un apéritif festif réussi ! En plus, sans se goinfrer de tortillas chips (que je préfère appeler chips triangles) c’est carrément sain. Les mexicains ont été rudement inspirés en créant cette fraîche purée épicée… Se doutaient-ils qu’elle régalerait les tables du monde entier ?!
La seule subtilité consiste à seoir aux sensibilités de chacun, parce qu’ici, qui peut le plus ne peut pas le moins. S’il est toujours possible d’ajuster le piment à la hausse, difficile de faire marche arrière. J’ai donc pris un parti consensuel !
Chers amis, mon 1er hachis parmentier maison est… Végétal ! Tout commence au rayon bio de mon hyper, lorsque je repère un haché végétal, une nouveauté déjà assaisonnée à base de soja, oignons et persil (de la marque Céréal). Or nom-de-code-chéri, jardinier à ses heures, venant de faire une impressionnante récolte de pommes de terre, j’ai pensé que cette préparation me donnerait l’occasion de tester un hachis parmentier.
Je n’ai jamais particulièrement affectionné ce plat qui me rappelle la cantine… Mais une version végé aurait pu me convaincre ! Le bilan de l’opération est pourtant assez mitigé. L’ensemble s’étant révélé un peu sec et l’assaisonnement du haché un peu léger. Faut dire aussi que je n’avais pas de fromage sous la main pour le gratiner, ça aurait peut-être aidé. Bref, je classe mon parmentier sous ma superbe rubrique (c’est ironique) « testé raté » et vous lance un appel : si vous avez un haché végétal à recommander, merci de laisser un petit mot en commentaire !
Je mène ces dernières semaines une course quasi-effrénée contre la montre, pour faire le plein de soleil et des derniers fruits et légumes de saison. Parce que les feuilles rousses qui dégringolent, les marrons et les potirons (ma définition un brin sélective de l’automne) c’est officiellement DEMAIN !
Pour une transition en douceur donc, je vous sers une assiette entre deux eaux… Une soupe en général, ça réchauffe (bien que celle-ci je la préfère tiède) tandis que le duo tomate-aubergine enclenche illico le chant des cigales.
Avant de refermer ce chapitre estival (et le clapet des cigales), je me laisse aller à partager avec vous quelques temps forts de mon été 2016. Il me laissera de merveilleux souvenirs : mes 1ères vacances avec nom-de-code-chéri, le bonheur de devenir marraine, mon 1er saut en parachute et… Près de 3 semaines sans eau chaude ! Ça remet les idées en place ! Cet automne apportera aussi son lot de surprises, à commencer par… Si tout va bien… Attention scoop : un (presque) logo pour le (presque) blog !!! Hiiiii je suis impatiente !!!
Vous le savez maintenant, je prépare mes potages avec un blender chauffant, ce qui ne vous empêche pas de procéder comme à votre habitude 😉
Il y a 1 an à cette saison, je postais des quiches aux champi, des veloutés de chou-fleur et autres plats plutôt robustes qui réchauffent. Tandis qu’aujourd’hui, mes orteils prennent encore l’air dans leurs sandales flamboyantes ! Comme je le répète à qui veut l’entendre, c’est un juste retour des choses après le printemps catastrophique qu’on a eu ! Mais trêve de considérations météorologiques, racontons plutôt des salades 😀
Le tofu fumé, c’est une 1ère pour moi. Je connais bien son frère insipide, mais lui, j’ai hésité avant de savoir quoi en faire… À tel point que sa date de péremption approchait ! C’est finalement une tarte à la tomate et au tofu fumé qui m’a inspiré cette salade de pâtes. Quel rapport ?! Je sais, il n’y a même pas de moutarde sur cette tarte ! Mais moi j’en mets sur ma tarte fine à la tomate et dans mes quichettes mousseuses, ahaaa ! Alors certes, c’est plutôt original, mais faites-moi confiance, c’est bon !