Flan ou terrine, je ne suis pas très sûre de son nom, mais je sais qu’il est très bon ! Voilà un plat original, le type de préparation que je n’ai pas l’habitude de cuisiner, et qui constitue pourtant un super dîner, une fois accompagné d’une bonne salade.
Moi qui n’apprécie pas du tout la texture visqueuse à table, raison pour laquelle je n’aime ni les flans pâtissiers ni les huîtres ^^ ce flan (va pour l’appeler flan) se tient très bien ! On y retrouve parfaitement les lentilles corail (que j’adore) subtilement relevées par le curcuma. Si vous n’aimez pas le curcuma ou n’en avez pas, n’hésitez pas à le remplacer par du curry 😉
J’ai trouvé cette recette dans le magazine Esprit Veggie n°15 de décembre 2020, présentée sous forme de petits bocaux individuels. Retrouvez-la également sur le blog Les p’tits plats de Véro.
Qu’on les appelle endives ou chicons, une chose est sûre dans notre famille franco-belge : on les adore ! Mais que l’on dise endives au jambon ou chicons au gratin, très peu pour notre famille flexi·végétarienne. J’ai plus souvent l’habitude de les faire braisées avec de la polenta au pecorino et aux herbes (ça fonctionne aussi avec du parmesan, un délice, je vous le recommande !) Or quand j’ai vu passer cette idée de tatin feuilletée caramélisée, mmh, il fallait qu’on y goûte !
Ce que je peux vous en dire en définitive, c’est que :
– si vous surveillez vos apports caloriques, ça ne va pas l’faire du tout… Les endives sont d’abord cuites au beurre, puis enduites d’un caramel au beurre, sous une pâte feuilletée pleine de beurre ! V’là la bombe !
– mais si, comme nous, vous vous en foutez*, pouah là là… Je crois que Nom-de-code-chéri est retombé amoureux de moi ♥ Il m’a dit au moins 4 fois (la bouche pleine) « c’est trop trop bon ma Chérie » tandis que moi, je pensais qu’il y aurait probablement un avant et un après cette tarte dans ma vie, c’est vous dire.
Si vous n’aimez pas les chicons ou les endives ou quelque soit le nom que vous leur donnez, cette recette pourrait bien vous faire changer d’avis ! Bye bye amertume, hello caramel…
* Vous vous doutez bien qu’on est loin de se moquer de ce qu’on mange, bien au contraire ! (Que du contraire, dirait un belge) On s’éfforce de manger bio, local voire de notre propre potager, de saison et généralement plutôt sain. Mais cherchant tous les 2 à reprendre du poids, on regarde assez peu au compteur calorique 🙂 Pour cette tarte, je me suis inspirée d’une recette de Cuisine Actuelle.
J’ai eu la chance de connaître mes 4 grands-parents et 2 de mes arrière-grands-parents. En cuisinant ce plat, j’ai pensé qu’aucun d’entre eux n’a jamais du goûter, ni même voir une patate douce de sa vie ! Ma grand-mère maternelle aurait eu 100 ans aujourd’hui. Une fine cuisinière, qui a toujours su préparer des festins avec 3 fois rien, du moins avec ce qu’elle avait sous la main. Ils étaient 6 à table, puis sont venus les gendres, puis sont venus les petits-enfants… Elle a toujours eu à cœur de régaler tout le monde (même les plus difficiles, dont je faisais partie).
Je pense qu’elle aurait aimé ces patates douces, qu’elle les aurait peut-être trouvées exotiques… Nous en tout cas, on a tous les trois A-DO-RÉ. J’imaginais qu’il resterait un tupp’ mais on a tout dévoré ! La farce est super onctueuse et vraiment savoureuse. Le goût de la patate douce est décuplé par la longue cuisson au four, on y retrouve parfaitement les champignons et la muscade. J’ai volontairement mis très peu de fromage pour qu’il ne prenne pas le pas sur le reste et j’ai bien fait !
Avec Nom-de-code-chéri, on s’est dit que ça ferait un chouette accompagnement de fête, pourquoi pas en le pimpant avec du quatre épices 😉 Pour cette recette, je me suis inspirée de celle de Sophie sur son joli blog La Tendresse en Cuisine.
Ah les bonnes tartinades… Elles ne sont pas réservées à l’été ! D’autant que, dans précisément un mois jour pour jour, nous célébrerons l’arrivée du printemps. J’ai tellement hâte ! En voyant le soleil et les températures de ce week-end, whaou, j’ai l’impression de commencer à me réveiller doucement d’une interminable hibernation… Pour m’éveiller à quoi, je ne le sais pas encore, mais ça viendra 🙂
Quoi qu’en soit le contexte, ce nouvel houmous aux pois cassés est vraiment excellent : frais, sain, on y revient sans faim ! Je l’ai préparé la veille pour le lendemain, et j’ai l’impression qu’il a davantage développé ses saveurs que le jour J. Si vous souhaitez faire pareil, n’oubliez pas de faire tremper vos pois cassés à J-2 !
Je me suis inspirée de la recette de Camille, sur son très joli blog Rosenoisettes.
J’aime toujours autant les quiches et tartes salées… Je les trouve tellement pratiques et réconfortantes à la fois. Pratiques parce qu’on y met tout ce qu’on a, qu’elles se renouvellent à l’infini, ce qui fait que je ne m’en lasse jamais. Et réconfortantes parce qu’une belle part, qu’elle soit moelleuse ou croustillante, me réchauffe généralement autant le corps que le cœur. Bref, j’ai réussi à faire de la poésie avec une tarte au roquefort 😀 Du roquefort, mais pas que ! C’est ce qui m’a attirée dans cette recette : j’ai l’habitude de ma traditionnelle tarte aux oignons, je glisse souvent du roquefort dans toutes sortes de quiches, mais je n’avais encore jamais combiné les deux !
Verdict ? Nom-de-code-chéri s’est régalé, moi j’avoue que le résultat m’a surprise… Quoi qu’il en soit, je vous promets l’haleine des grands jours 😀
La Saint-Valentin a un sens tout particulier pour Nom-de-code-chéri et moi. En plus d’être le fête des amoureux, c’est au soir du 14 février 2016 que Nom-de-code-chéri m’a invitée à dîner chez lui. Ça faisait alors plus de 7 ans qu’on se connaissait et qu’on sortait avec notre bande de copains et de collègues… Mais pour la 1ère fois ce soir-là, j’étais la seule conviée à sa table. Moi qui pensais qu’il n’avait simplement pas réalisé la date, il savait en fait très bien ce qu’il faisait, mon Chéri ♥
Pour célébrer notre 6ème Saint-Valentin cette année, on a décidé de commander un bon repas dans un restaurant proche de chez nous. On commande déjà chaque semaine, et c’est là encore l’opportunité de soutenir nos restaurateurs, qui je pense, en ont cruellement besoin. Et vous, que prévoyez-vous ? Que vous soyez seul·e ou accompagné·e, je vous souhaite dans tous les cas une joyeuse Saint-Valentin !
C’est aussi pour moi l’occasion de vous partager une petite douceur tout chocolat. Ne vous laissez pas surprendre par son aspect volcanique aux mille cratères. Je pense que c’est dû à mon sucre, dont les grains sont très épais –j’aurais du le faire fondre avec le beurre et le chocolat. Bon, en plus, on est d’accord que le gâteau est un poil trop cuit et surtout, dans un moule trop grand, raison pour laquelle il est bien trop raplapla… Pour autant, ce gâteau a un potentiel énorme, car même trop cuit et même trop fin, un délicieux fondant se cache sous sa fine croûte craquante.
Je me suis inspirée d’une recette publiée il y a précisément 10 ans par Lucie sur son blog Cuisine en scène. Parce que le chocolat, ça ne se démode pas, JAMAIS !!!
La semaine passée, nous nous sommes offerts une semaine de vacances dans les Vosges. Et bien que la météo n’ait pas été tous les jours au rendez-vous, on a pris beaucoup de plaisir à changer d’air, se balader, admirer les paysages entre montagnes, cascades et lacs, et Mini-biscuit a eu beaucoup de plaisir à faire de la luge à gogo (quoi que je ne sais pas lequel de Mini-biscuit ou de Nom-de-code-chéri se marrait le plus sur la luge ^^) On a bien sûr profité de notre séjour là-bas pour faire quelques emplettes, notamment à la ferme bio de Bonnefontaine au Tholy, d’où nous avons ramené une quantité astronomique de succulents fromages, dont ce délicieux Munster Géromé.
« Géromé » ça veut dire quoi ? C’est une appellation d’origine protégée qui distingue la provenance géographique du fromage. A l’origine, le Munster est produit dans la petite ville du même nom, sur le versant alsacien des Vosges. Au fil des siècles, les fermiers investissent le versant lorrain des Vosges où ils fabriquent le Géromé, en référence à la ville de Gérardmer (dont les habitants sont les Gérômois). Dans les 2 cas, le Munster est un délicieux fromage à pâte molle et à croûte lavée, au lait de vaches des montagnes vosgiennes ! Le nôtre est jeune, il n’a embaumé ni la voiture, ni le frigo, mais s’est avéré délectable dans cet excellent gratin de légumes d’hiver.
Je me suis en partie inspirée de la recette du blog Artichaut et cerise noire, bien que vous verrez que ça n’a plus grand chose à voir 🙂