En vous listant les plus et les moins de cette formule, je soulignais que leurs recettes pouvaient combiner des ingrédients que je n’aurais jamais osé associer. Eh bien pour le coup, je n’aurais jamais osé mettre de la salade dans une purée !!! Résultat ? Un plat à la fois rassasiant et frais ! Ça vous tente ?
Je vous disais aussi que leurs proportions sont généreuses. Ces quantités annoncées pour 2 nous ont fait 3 bonnes assiettes. Et le verre de vin, sur la photo, se sirote avec modération 😉
J’ai testé HelloFresh, vous connaissez ? Il s’agit d’une box livrée à domicile, contenant des fiches recettes et les ingrédients nécessaires pour les réaliser. Au préalable, on passe commande des recettes que l’on souhaite parmi celles au menu et on précise le nombre de personnes. Leur promesse : livrer des ingrédients frais et des recettes saines directement chez nous chaque semaine. Alors, promesse tenue ?!
Les plus
– Le choix de recettes : elles sont originales et combinent des ingrédients que je n’aurais jamais pensé ou pas osé associer. Elles permettent donc de découvrir des plats que l’on ne ferait pas forcément de nous-même. Génial pour ceux qui ont besoin d’un coup de pouce en cuisine ou qui sont en manque d’inspiration… Ce n’est certes pas mon cas, mais j’ai apprécié la découverte !
– La souplesse : il n’y a pas d’engagement, on peut suspendre son « abonnement » à tout moment
– La livraison : le livreur est charmant et ponctuel, à une heure où on est chez nous
– Le conditionnement : les ingrédients sont emballés par plat (emballages recyclables), tout est pesé, il n’y a vraiment plus qu’à cuisiner !
– Les fiches recettes : facile à suivre, elles sont illustrées étape par étape et mentionnent en plus le bilan calorique, l’accord met-vin…
– Les plats : on a aimé et j’ai apprécié qu’ils soient effectivement sains
– Les portions : elles sont généreuses ! Ce plat annoncé pour 2 nous a fait… 4 rations !
Les moins
– La saisonnalité : proposer des recettes à base de tomates ou de courgettes en février c’est moyen moins
– Le prix : j’avoue avoir profité d’une offre découverte à -50 %, sans quoi le prix m’aurait vraiment bloquée. À la réflexion, et comme je suis satisfaite de ma découverte, la box de 3 repas x 2 personnes (+ les tupps’ bonus) équivaut l’addition d’un petit restau pour 2 donc… Une fois de temps en temps, je suis prête à me laisser tenter 🙂
HelloFresh livre au Benelux et en Suisse mais je ne crois plus en France. La liste des pays ici.
14 février 2015 : je décolle pour l’Inde, un vol Francfort-Delhi qui m’emmène à la rencontre d’un autre moi-même 14 février 2016 : Nom-de-code-chéri me fait une déclaration d’amour à faire rougir les plus romantiques 14 février 2017 : sans que je le sache encore, mon Mini-biscuit est déjà lové au creux de mon ventre 14 février 2018 : Nom-de-code-chéri, Mini-biscuit et moi allons fêter notre 1ère Saint-Valentin en famille <3
Nom-de-code-chéri étant un fan inconditionnel de l’orange amer en général, et des orangettes en particulier, j’ai voulu lui faire plaisir avec ces muffins au cacao et oranges confites. Vu la vitesse à laquelle ils ont tous été engloutis, je dirais que j’ai bien réussi ! Alors, si vous aussi vous craquez pour les orangettes, vous savez ce qu’il vous reste à faire !
Question cacao, je choisis le vrai, le pur, le dur Van Houten, qui ne se cache pas derrière des tonnes de sucre. À ce sujet, vous avez peut-être vu cet extrait, dans lequel une diététicienne dénonce la teneur en sucre des poudres chocolatées : 80 % en moyenne et même 88 % dans « Mon premier Nesquick », pourtant destiné aux enfants dès 3 ans, et sur la boîte duquel il est inscrit « Moins de sucres » 😡
Rendons immédiatement à César ce qui lui appartient : Nom-de-code-chéri a réalisé cette recette ! Pas moi, j’avais Mini-biscuit dans les bras <3 Il avait repéré les fiches recettes du magazine Elle, seule lecture que j’ai pu mener à bien depuis la naissance de Mini-biscuit… Il est loin le temps où j’enchaînais un bouquin derrière l’autre !!! Voir ici par exemple mes nombreuses lectures de grossesse !
Bref, la fiche est signée de Carrie Solomon, américaine basée à Paris et auteur de plusieurs livres de recettes. Pour celle-ci, elle conseillait 1 œuf pour 1 courge (environ 800 g de chair). On a légèrement changé les proportions et on a beaucoup apprécié cette 1ère expérience de la courge spaghetti !
La courge spaghetti, vous connaissez le principe ? Sa chair est naturellement filamenteuse. Après cuisson, on la prélève à la fourchette et on obtient des filaments comme des spaghetti, d’où son nom 😉
Samedi matin. Je profite que Nom-de-code-chéri puisse garder Mini-biscuit à la maison pour aller me faire refaire un tête chez le coiffeur. Je rentre à 13h avec une nouvelle crinière de lionne* et l’estomac bien creux. Je veux faire un petit truc rapide… Des pâtes par exemple. Et voilà comment quelques champignons et un peu de mozza plus tard on s’est régalés de cette assiette.
Si vous avez l’habitude des plats en crème et que ces pâtes semblent un peu sèches à votre goût (ça ne l’était pas pour Nom-de-code-chéri et moi), arrosez d’un trait d’huile d’olive. Les amateurs pourront également ajouter une gousse d’ail.
* Ma collègue S. m’apprendra plus tard que l’expression « crinière de lionne » a fait scandale lors de la dernière élection Miss France (regard exaspéré). Alors pour être claire : je ne trouve RIEN de raciste ou de ségrégant dans cette expression. J’ai véritablement une crinière bouclée, couleur savane, et moi ça me fait bien marrer d’être une lionne.