J’avais déjà tenté les muffins aux Carambar il y a bien longtemps, sur base d’une autre recette (celle-ci ?) mais me suis laissée tenter cette fois par cette nouvelle version inspirée du blog Papilles et pupilles, attirée par l’idée de diviser par 3 la quantité de beurre.
Deux machines à laver discutent :
– Je suis en pleine forme !
– Moi, je suis lessivée…
Ces muffins sont très appréciables car, pour une fois, ils ne sont pas trop sucrés. En revanche le goût Carambar reste subtil… À refaire j’en mettrais davantage, probablement même un peu plus de beurre. Mais ne partez pas tout de suite ! Leurs frimousses caramélisée ont tout de même fait l’unanimité auprès de ceux qui les ont picoré 😉
On me casse souvent avant de m’utiliser, qui suis-je ? (1)
Les réponses aux devinettes se trouvent tout en bas de la recette, aux numéros indiqués 😉
Vous ne résisterez pas à son fondant et à son goût ultra-chocolat !!! C’est MON gâteau au chocolat, celui auquel je reviens toujours et qu’on me réclame. La recette originale du « gâteau au chocolat fondant de Nathalie » est tirée du livre Je veux du chocolat ! de la célèbre irlandaise Trish Deseine. Je lui enlève un peu de sucre (elle en met 250 g) et le bat davantage. Ce n’est pas de la violence gratuite, je crois que le secret d’un gâteau réussi est dans le mélange… Donc fouet du robot à fond pour aérer et « alléger » la préparation. Bien qu’en cette Journée Mondiale du Chocolat, je n’ai pas particulièrement envie de penser léger !
Tout commence lorsque mon ami M. m’envoie (de façon tout à fait désintéressée) le lien d’un article décrivant LE dernier cake healthy du moment. Le coconut bread agiterait Instagram parce qu’il est SANS matière grasse, SANS œuf et pauvre en glucides, mais AVEC fibres, AVEC micronutriments antioxydants et AVEC plaisir. Si M. se fout autant du veganisme que du bio, la diététique en revanche… Il surveille sa ligne athlétique, sans renoncer à son plaisir.
Quelques clics plus tard, je trouve des recettes très différentes : celle du magazine Elle à table, effectivement sans, sans, sans et la 2nde du blog Maman… ça déborde ! plutôt avec, avec, avec. Je m’en suis tenue au plan light, en procédant à quelques petits ajustements.
Verdict ? Grand bien en a pris à M. de partager ses lectures ! Lorsque j’ai déballé le cake après sa nuit de repos (parce qu’il se prépare idéalement la veille pour le lendemain) il dégageait l’irrésistible parfum promis par l’article. Sous sa croûte ferme se cache un cœur moelleux qui rappelle les rochers coco. Bien que très peu sucré, M. et ses compères ont apprécié. La recette Elle préconisait 75 g de sucre, j’ai réduit d’1/3 mais que les becs sucrés n’hésitent pas à en ajouter. En revanche, si vous comptez tartiner votre tranche légèrement toastée de confiture de banane ou de pâte à tartiner au chocolat noir (ce qui ne serait plus diététique mais mmh, que c’est bon !) tenez-vous en à ces proportions 😉
Qu’on se le dise, depuis 10 ans tout rond que je fais la galette, celle-ci est la moins jolie de toutes 🙁 Ma pâte n’a pas bien feuilleté. Je ne suis pas encore sûre de la raison, mais j’investigue ! La frangipane, elle, inspirée de la recette de Julie Andrieu, est toujours aussi bonne. Fan absolue de frangipane, je la surbooste avec un peu d’extrait d’amande amère.
Comme la galette, on peut façonner une couronne maison, en s’inspirant par exemple de modèles à imprimer ici ! Sinon faire les yeux doux à notre boulanger pâtissier pour qu’il accepte d’en donner une 😉
Ma 1ère rencontre avec le carrot cake remonte à un séjour outre-Manche. Rien d’étonnant lorsqu’on sait l’engouement des Anglo-saxons pour cette gourmandise qui serait pourtant d’origine suisse… Ça alors ! D’où qu’elle vienne, j’ai à tout jamais succombé à ses épices, son glaçage au cream cheese et à la petite carotte en pâte d’amande qui la surmontait alors 🙂
Après une 1ère tentative décevante, je suis cette fois pleinement satisfaite de ma recette. La texture est moelleuse, aérienne et humide comme il faut, le fromage frais se tient et les saveurs s’équilibrent. Ne sacrifiez rien ! Le croquant des noix, les raisins secs gorgés de jus d’orange et le teint poil de carotte de la vergeoise (dont je vous vante déjà les mérites dans la recette des cookies)… Chacun joue son rôle.
Aussi roux que les gentilles citrouilles d’Halloween, mes carrot cupcakes sont pour l’occasion couronnés d’un glaçage vert comme la créature de Frankenstein. Comme les esprits, il change d’aspect au travers de l’objectif, c’est pourquoi ce n’est pas flagrant sur les photos 😉
Lorsque M. Veggie et Mlle Vegan m’invitent à leur dîner d’anniversaire, j’apprends qu’ils sont nés à 3 jours d’intervalle. Pratique ! Je demande ce que je peux amener ? Du sucré. Parfait, un dessert d’anniversaire, je pense instantanément gâteau 😉 Cette petite mission m’enchante parce qu’elle me donne l’occasion 1. de concocter une pâtisserie qui manque cruellement sur le blog (c’est pourtant pas faute d’en raffoler) et 2. d’expérimenter une préparation végétalienne.
Le régime végétalien exclut tout aliment d’origine animale, c’est-à-dire les œufs, le beurre, le lait, le miel… Chouette défi ! Mais sur l’instant, j’ai besoin de me documenter. Je fouine donc sur la blogosphère et m’arrête rapidement sur la recette de gâteau au chocolat de Melle Pigut (Petites Idées pour Grandes UTopies). Faut dire que le titre « facile, rapide et super bon » est vendeur. Ce qui me plait aussi, c’est son accessibilité : pas d’ingrédient extraterrestre ou de substitut de derrière les fagots.
Comme il faut toujours que j’y mette ma patte (cette manie, franchement…) son gâteau au chocolat est devenu, entre mes pattes, un gâteau choco-coco. C’est qu’au lieu de l’huile d’olive, ça m’a semblé l’occasion parfaite 3. d’inaugurer mon huile de noix de coco. Et tant qu’à faire, de poursuivre avec du sucre de fleur de coco.
L’huile de coco connaît un effet de mode, à mon avis bienvenu puisqu’il permet de mettre en lumière les nombreuses vertus qu’on lui prête. Elle combine par exemple des acides gras bénéfiques à la santé et reste super stable à la cuisson, contrairement aux huiles qui se dégradent à haute température. Le sucre de la fleur de cocotier (fructose), a quant à lui un index glycémique moitié moins important que celui du sucre blanc (saccharose).
La fête nationale américaine est un prétexte tout trouvé pour nous lancer sur une spécialité outre-Atlantique. C’est demain, c’est Independence Day, et l’occasion fait le larron !
En plus, le cheesecake présente 3 supers avantages : 1. c’est tout facile 2. on peut réduire sa valeur calorique dans une limite psychologiquement acceptable et 3. c’est frais et aérien, bien appréciable vu les températures caniculaires !